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Jaune et rouge
Barcelone la nuit - Mai 2013
Photographie Louis-Paul Fallot
Les couleurs de cette introduction au voyage ne pouvaient qu’être à dominante jaune et rouge. Sur fond bleu, nous avons eu de la chance pour ces vacances printanières.
Je vous en proposerais quelques images commentées. A ma façon, en mots et photos et en privilégiant comme toujours mes coups de cœurs et mes ressentis d’instants présents. Des pages d’art, de nature ou d’histoire, avec juste ce qu’il faut de liens pour que chacune et chacun d’entres vous puisse - s’il le souhaite – faire son propre voyage.
Photographies:
Louis-Paul Fallot: 1 et 6:Barcelone - 2: Céret - 3: Cadaquès - 4: Argelès sur Mer - 5: Figueres (musée théâtre Dali) - 7:Aude
Photographie Cath: 8: Collioure
05.06.2013 | Lien permanent | Commentaires (5)
Que faire (4)
Le bulletin météo, j’y crois de moins en moins.
La fin de la canicule dans le sud est régulièrement annoncée
et chaque jour un nouveau bulletin d’alerte canicule est invariablement
en ligne sur le site de l’organisme officiel
ou à la télé
que je n’allume d'ailleurs pratiquement plus.
Les appareils, çà chauffent,
seul mon ventilateur me procure un peu de bien être !
Mes pigeons (voir autres notes « Que faire ») sont désespérés,
l’eau de la fontaine ne coule plus.
Pourquoi, Monsieur le maire ?
Sur la blogosphère, c’est le grand calme,
j’en profite pour faire un peu de ménage là aussi…
Et préparer un petit itinéraire sur le site Michelin pour les vacances à venir.
Bon, le car qui me mène à Nice est climatisé,
un peu de lecture me fera du bien.
(« Moi, Bouddha » de José Frèches, pour rester zen)
Une photo du seul endroit où l’on est bien…le soir.
01.08.2006 | Lien permanent | Commentaires (3)
On allait au bord de la mer
(…) Alors on regardait les bateaux
On suçait des glaces à l'eau
Les palaces, les restaurants
On ne faisait que passer devant
Et on regardait les bateaux
Le matin on se réveillait tôt
Sur la plage pendant des heures
On prenait de belles couleurs. (…)
Avant Michel Jonasz, Jacques Prévert a évoqué ces moments d'enfance qui deviennent des souvenirs inoubliables de "grands ": La mer, je courais après elle, elle courait après moi, tous les deux, on faisait ce qu'elle voulait. C'était comme les contes de fée : elle changeait les gens. A peine arrivés, ils n'avaient plus la même couleur, ni la même façon de parler. Ils étaient remis à neuf, on aurait dit des autres.
Batz sur Mer, août 2012, PhotosLP Fallot
Une de ces chansons intemporelles et dont je connais par cœur les paroles…Je me suis surpris à la fredonner encore cet été sur les bords de mer de Bretagne.
Michel Jonasz, Les vacances au bord de la mer, 1975
Paroles de Pierre Grosz – Musique de Michel Jonasz
29.08.2012 | Lien permanent | Commentaires (7)
Du bleu, du blanc et du rouge
Du bleu...
Du blanc...
Du rouge...
Du bleu, du blanc avec une pointe de rouge...
Du bleu blanc rouge...
Des images en cadeau de "pêle mêle" pour notre fête national et des clins d'oeil en ces temps de vacances. Mais soyez prudent quand même!
Et pour terminer, la photo que je ne pourrais vous montrer, celle de la patrouille de France traversant le ciel de Méailles! Vitesse impressionnante, bruit étourdissant et les couleurs tricolores en plein milieu du clocher! Mais le temps de saisir l'appareil et "ils" avaient déjà disparus...
Madame la Lune était plus facile à prendre.
PhotosLP Fallot - Juin/Juillet 2012
1-2-3-5: Nice/4-6-7-8: Cagnes/9: Méailles
Et à propos de ciels, cliquez sur le clocher pour en découvrir quelques-uns pris à Méailles cet été.
14.07.2012 | Lien permanent | Commentaires (9)
Transparence
Une invitée surprise hier soir vers 22h30. Je n’avais encore jamais vu une libellule voler la nuit. Encore moins dans une cuisine!
J’ai fait des recherches, après avoir fait quelques clichés de "l'évènement". (La photo ci-contre n'est pas en N&B...)
J’ai eu ma réponse sur le site du Muséum d’histoire naturelle de….Nantes. (Non, je ne l’ai pas fait exprès !)
Alors si vous voulez tester vos connaissances sur les libellules, cliquez pour faire le quizz que le site nous propose.
Puis je me suis dit que peut-être la demoiselle était venue me souhaiter de bonnes vacances. M’inviter à me poser. Comme sa consœur dont la photo - extraite de mon livre – illustrait mon billet de l’an neuf.
J’ai relu cette Note, "Se poser"assez content à mi parcours de 2010 du devenir de ces résolutions.
Qu’il est bon de relire de temps à autre quand la vie s’emballe, que les évènements non prévus viennent troubler l’équilibre émotionnel que je me construis un jour à la fois depuis le 23 septembre 2003.
J’ai éteins la lumière, la belle venait s’y cogner contre le luminaire ; je ne voulais surtout pas qu’elle vienne s’y brûler les ailes ! Mais malgré la porte du balcon ouverte, elle n’a pas trouvé seule son chemin. Délicatement, je l’ai aidé à retrouver les airs de la liberté.
Se poser, me poser écrivais-je le 1er janvier sur ce blogue
Laisser son corps se reposer, ses pensées s’alléger
Rendre son âme disponible et cultiver sa sérénité.
Sur un banc un instant, et qu'importe le lieu et le temps.
Le temps d’un mercredi soir , coupure bienvenue d’un milieu de semaine ;
d’une minute, pour un cliché d’une photo pensée.
Le temps d’une semaine
sur un bord de mer ou de fleuve, d’ici ou d’ailleurs.
Le temps d’un trajet, banquette arrière d'un transport en commun.
Mais se poser n’est pas « ne rien faire ».
C’est faire autrement en prenant son temps
C’est méditer en admirant une fleur des champs
C’est sourire au visage d’un enfant
Tendre une main offrir un sourire
C’est lire un roman, et revenir sur la page,
De la valse des mots qui en feront l’histoire.
Laisser aller ses pensées entre rêves et réalités
C’est cette œuvre d’art, tableau ou photo
Qui nous fait voyager.
C’est aussi écouter les autres, confronter son égo
Sans préjugés ni juger préférer partager. (…)
En toute transparence comme les ailes de la libellule. Ce que j’appelle honnêteté et que je m’essaye à appliquer avec le plus possible d’humilité. Honnêteté, humilité, les deux mots que je ne dois jamais oublier, clés de mon rétablissement et de cette recherche de sérénité.
Voilà encore quelques lignes écrites dans ce petit matin que j’aime.
Les premières de ce premier jour de vacances. Dans les jours à venir, j’écrirais mes notes de vacances sur un autre carnet, manuscrit. J’oublierais un peu ce clavier puis dans quelques temps reviendrais ici en partager quelques pages avec vous.
Des pages estivales que je vous souhaite belles, où que vous soyez, sur une route ou un chemin, dans une ville ou un village, sur une plage ou un rocher, au travail ou en vacances...Devant votre écran peut-être, dans ce que j’ai nommé « Au pays du Blog ». Et en écrivant cette ligne, j’ai des pensées particulières, Gazelle, Océania, DA…
Si vous passez par ici, peut-être aurez-vous envie de lire ou relire quelques unes de ces Notes faites de Mots et Photos que je dépose sur ce Carnet.
Où encore sur PhotosLP, sur Les Saisons… Les liens sont ci-contre.
Merci de vos passages, de vos commentaires.
Que vous partiez ou non, je vous redis bel été.
10.07.2010 | Lien permanent | Commentaires (20)
Péages
La première autoroute aux États-Unis fût construite en 1940 en Californie.
Les routes et autoroutes belges sont gratuites pour tous les usagers.
Les autoroutes allemandes sont gratuites pour les voitures particulières..
En France, la plus grande partie du réseau autoroutier est concédée à des sociétés à capitaux privés ou publics. L'État s’est désengagé progressivement de ces sociétés au moment où les autoroutes devenaient rentables…
A ces quelques infos (Source Wikipédia), je rajoute que la plupart des contournements urbains en France sont gratuits sauf…sur la Côte d’azur !
Et que j’apprécie de traverser durant mes vacances mon pays natal breton sans voir nulle part le mot péage !
Photos Louis-Paul Fallot- 2009
26.10.2009 | Lien permanent | Commentaires (25)
Promenades fleuries en mai
Durant mes vacances, les promenades fleuries continuent sur ce Blog.
Parmi les nominés (vos commentaires) du petit jeu de fin avril, il y avait ...
« Un bouquet de genêts, ils sont magnifiques en ce moment! »
La semaine passée, en traversant les paysages de Provence, je pouvais admirer les coquelicots " rois des chaussées " le long des rails, mais c’était les grandes tâches jaunes des genêts qui illuminaient le vert printanier.
Ce train me menait à Nîmes.
Et aux Jardins de la Fontaine à Nîmes,
après avoir visité le Temple de Diane,
j’ai photographié ces jolis iris, autre "nominé".
07.05.2008 | Lien permanent | Commentaires (23)
Le temps qui passe
C’était jeudi dernier, le 8 mai. Je cherchais une idée de Note à programmer pour ce dimanche. Juste avant de partir terminer ces vacance sur les chemins de Haute-Provence.
En fait, trop d’idées de Notes mais pas assez de temps pour la réaliser.
Je me suis dit « mets une photo » mais là encore, dilemme !
Et la pendule du Télé Matin qui tourne, « le temps qui passe » comme me le rappelle le Jacquemart de la maison en face de l’hôtel de ville à Nîmes.
Il me faudrait plutôt me préparer, allez, un dernier regard sur vos commentaires et j’éteins l’ordi.
Et voilà comment, ce matin là, vos commentaires, de l'Iowa au pays niçois, (faut aller les lire pour comprendre) auront donc fait cette Note programmée...
A bientôt, merci de vos passages...et de vos commentaires bien sûr.
11.05.2008 | Lien permanent | Commentaires (8)
Les glycines de San Remo
Ce matin, sous le ciel frémissant comme toi,
C’est dans tes grappes et tes feuilles,
Tout le miracle bleu du printemps qui m’accueille!
Sabine Sicaud (*)
Nous avons pris rendez-vous pour revenir dans un mois, ne serait-ce que pour admirer la glycine du bord de mer écrivais-je en réponse à un commentaire de l’ami italien sur ma Note On dirait le sud .
Chose faite ce dimanche par une journée sur cette magnifique Rivièra italienne. Des couleurs du sud, un parfum printannier et comme un avant goût d’été…
Mais n’était ce pas le début des vacances ?
San Remo le 14 avril 2013
Photographies Louis-Paul Fallot
(*) Extrait du poème La Glycine de Sabine Sicaud, Poèmes d’enfant,Poitiers, Cahiers de France, 1926
15.04.2013 | Lien permanent | Commentaires (12)
Paris la Seine, l'heure bleue
Retour d’un séjour automnal et parisien. Quelques jours d’une rare intensité et de très belles rencontres. Peu de temps pour se poser et peu de tourisme mais quelques instants ici et à l’heure bleue pour se réciter avec Prévert Il était une fois la Seine, il était une fois la vie.
A très bientôt.
"Comme le fleuve Amour
vous l’entendez la belle
vous l’entendez roucouler
dit un grand seigneur des berges
un estivant du quai de la Râpée
le fleuve Amour tu parles si je m’en balance
c’est pas un fleuve la Seine
c’est l’amour en personne
c’est ma petite rivière à moi
mon petit point du jour
mon petit tour du monde
les vacances de ma vie
Et le Louvre avec les Tuileries la Tour Eiffel la Tour
Pointue et Notre-Dame de l’Obélisque
la gare de Lyon ou d’Austerlitz
c’est mes châteaux de la Loire
la Seine c’est ma Riviera
et moi je suis son vrai touriste"
Extrait du poème de Jacques Prévert La Seine a rencontré Paris
Recueil : "Choses et autres"
11.11.2015 | Lien permanent | Commentaires (9)