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“ WONDER AND MAKE A WISH” (S’émerveiller et faire un vœu)
Exposition Wonder and Make -Golf Juan
Photos Louis-Paul Fallot
Présenté par la Galerie Oscar, l’exposition " Wonder and Make a Wish" (S’émerveiller et faire un vœu) met en vedette le travail de cinq artistes Hollandais « azuréens », qui vivent et travaillent sur la Côte d’Azur:
« A travers peintures, photos, sculptures et joaillerie, l’exposition « Wonder and Make a Wish » exprime la créativité par une approche émerveillée de l’existence. Les cinq artistes en vedette, toujours émerveillés font appel à la sensibilité des visiteurs. Leurs œuvres nous entraînent dans un monde irréel, étonnant et nostalgique. Leur art transmet souvent la perception oubliée et nous permet de croire que tout est possible. Nos enfants s’émerveillent et souhaitent un miracle avant que les adultes ne les ramènent à la réalité. Avec l’exposition « Wonder and Make a Wish » c’est comme un rêve éveillé où les artistes ouvrent nos yeux éblouis. » (Extrait de la présentation de l’exposition sur le site de la Galerie Oscar)
Ineke Velsink que j’avais rencontré l’an passé à Villefranche sur Mer et qui accueille cette exposition à laquelle participent également Marina Kulik, Thérèse Steinmetz, Rosalind Suurland et Elmer de Haas. Les cinq artistes reverseront 10 % de chaque vente à l’œuvre de bienfaisance « Make-A- Wish ».
" Make-A-Wish" est une organisation caritative internationale répondant aux vœux des enfants dont l’état de santé présente une urgence médicale. Son but est d’enrichir l’expérience humaine d’espoir, de force et de joie. L’organisation a déjà une représentation à Paris et est en train de créer une antenne dans le sud de la France.
A ne pas manquer (l’expo se termine ce soir) si vous êtes sur la Côte d’Azur.
16.09.2012 | Lien permanent
Quelques mots (et photos) et pause
Mise à jour du diaporama en bas de Note à/c du 22 août avec la reprise de ma série
"Photos d'été" publiée dans l'album PicasaWeb.(Google +)
Légendes:
Exposition "Passage" de Jean-Marie Fondacaro à la Citadelle de Villefranche sur Mer,
la nouvelle signalétique pour de belles balades en Haute-Provence,
le Port du Cros bien sûr,
et les hirondelles prises de la maison de Méailles.
Photographies Louis-Paul Fallot, été 2013.
Ce montage photographique résume et de manière assez fidèle mon activité de cette première partie d’été: Beaucoup de temps consacré à un projet qui avance et qui me tient à cœur, des promenades en bords de Méditerranée où sur les sentiers de Haute-Provence, et comme les hirondelles de la photo, du temps où l’on se pose, où l’on vit comme je l’ai écrit en mode été , plus lentement. Contrairement à mon précédent montage,(Notes d'été) ce ne sont pas ici des clichés déjà publiés de ma Galerie d’images mais des photos d’été, de cet été 2013. J’en ai publié sur Internet régulièrement et je continuerais à mon retour. Je vous les propose ci-après dans un diaporama. Des photos que j’aime et qui témoignent d’instants présents en cette saison où tout est quelque peu différent.
Pas de liens non plus vous invitant à lire ou relire une sélection de Notes. Je vous laisse - si vous en avez envie - aller et venir dans les plus de mille Notes qui composent ce blogue; ou bien encore dans celles de mes autres blogues dont vous trouverez les liens ci-contre :
PhotosLP, les Saisons de Méaille, Carte blanche et noire et L’instant Présent…
Je vous souhaite un bel été, je pars, d’autres rentrent, il y a un toujours un voyage à faire, sur les routes ou/et sur la blogosphère. Vous trouverez ci-contre une liste de quelques sites qu’au fil du temps j’ai sélectionnés. (Voir ci-contre au pays du blog) .
Voilà les quelques mots que j’avais envie de déposer avant de mettre en mode pause ce blogue et aussi les sites et réseaux sociaux où je publie mes partages.
Je voudrais vous remercier de vos passages, des rencontres faites et à venir, des liens tissés, tout cela grâce à ce formidable outil qu’est Internet si l’on apprend à l’utiliser avec intelligence et aussi… à l’oublier un peu de temps en temps.
Je fêterais bientôt ma décennie de ce que je nomme Nouvelle vie et je n’oublie pas cette phrase qui se veut mode de vie plus que slogan "habille-toi et sors". Je pense bien à vous et encore une fois, je vous dis bel été.
27.07.2013 | Lien permanent | Commentaires (16)
L'art dans le nuage (Patrick Moya)
Conférence de Patrick Moya -Auditorium bibliothèque Nucéra à Nice - Photo Louis-Paul Fallot
Un peu comme une séance de rattrapage…Je tenais à assister hier à cette conférence de Patrick Moya à l’auditorium de la bibliothèque Nucéra. Faut dire que je n’avais pas vraiment accroché lors de son intervention interactive sur Web 3D au festival Franchement Art à Villefranche sur Mer en 2011 ; je l’avoue l’homme m’avait même un peu énervé par ce que pensais être un égo démesuré!
Mais je gardais à l’esprit ce texte qui m’avait tant plu "L’art à la rue " (Préface du livred'Hervé Caël aux éditions Baie des Anges); j’eu aussi l’occasion d’un peu mieux le connaître cette année sur les stands des éditions Baie des Anges lors de la journée auteurs au MUSAAV et au dernier Festival du livre de Nice.
Dédicace du livre de Patrick Moya "L'art dans le nuage"
Journées auteurs au MUSAAV 2012-Photo Louis-Paul Fallot
Hier donc ; si Patrick Moya nous a promené dans sur son île virtuelle, il a fait également - avec brio et plein d’humour et même d’autodérision - une très belle prestation pédagogique. Personnellement, j’ai appris plein de choses et comme le thème de cette conférence était autour de la sortie de son livre, je ne saurais que trop vous en conseiller la lecture.
Extrait: L'art dans le nuage, c'est un art évaporé et insaisissable, qui forme l'image de la créature par l'agglomération de million de gouttelettes reflétant dans chacune d'entre elle l'image du tout, tel un hologramme. Plus prosaïquement, l'art dans le nuage, c'est un art qui n'appartient plus matériellement à l'artiste. Il n'est plus dans son atelier ni même dans son ordinateur, mais dans des serveurs, quelque part, sans qu'on puisse jamais savoir où, car au fil des sauvegardes et des transferts, le lieu de stockage n'est jamais certain...
"L’art dans le nuage" de Patrick Moya. En 25 chapitres, courts, mais très denses, l’auteur nous dévoile ses réflexions et se pose (nous pose) des questions essentielles à l’heure où le “réseau” occupe une place de plus en plus importante dans notre vie quotidienne, où l’usage du “nuage informatique” se développe...Format poche, 7,50 euros aux éditions Baie des Anges.
LIENS:
Le site de le blogue de Patrick Moya
Le site des éditions Baie des Anges
09.11.2012 | Lien permanent | Commentaires (3)
Ecritures de lumière (hommage à Lucien Clergue)
© Lucien Clergue Nu Zebré - New York 2007
À Clergue pour ses nus
Du phoque renversé sous l'écume des bagues
Perles et diamants, (ils nous viennent des vagues)
Je vous orne Sémiramis
En vos jardins
Suspendus voyageur de pylône en pylône
Fûtes-vous (avouez) reine de Babylone
Ou bien morte sans chef en vos vertugadins ?
Vous riez vous criez vous avez tort de rire
Et raison de crier au fond de ces tunnels
D'où les oiseaux bavards comme la poêle à frire
S'échappent vers l'amour des ventres maternels.
Jean Cocteau
1956
Ce poème de Jean Cocteau a été écrit en novembre 1956 à Villefranche sur Mer et est adressé à Lucien Clergue. Il fût publié l’année suivante chez Seghers dans l’ouvrage de poèmes « Corps mémorable » de Paul Eluard, la couverture était signée de Picasso et les photos de Lucien Clergue avec ce poème liminaire de Jean Cocteau
Lucien Clergue à Nice au Festival du Livre en 2013
Photographie Louis-Paul Fallot
J’avais rencontré Lucien Clergue à PhotoMenton en 2010 où nous avions assisté à sa très belle conférence. Lucien Clergue avait tenu à visiter tous les stands des 120 exposants, avec pour chacun un mot particulier. J’avais évoqué Née de la vague, acheté tout comme mon premier réflex avec les économies de jeune travailleur dans les années 70. A ma question sur la disponibilité de cet ouvrage mythique il me répond tout simplement qu’il s’en procure parfois comme tout le monde sur un site Internet de vente d’occasion… (Extrait de ma Note "Vagues d'émotion à Menton")
Je l’avais revu l’an passé à Nice où il était "notre voisin" Place Gautier au Festival du livre et sur les stands des éditeurs régionaux. Il m’avait dédicacé son dernier livre, "Ecritures de lumière" édité par les éditions Melis. Et dans lequel vous pourrez lire ce poème.
La photo de haut de page est extraite de la série "Nus zebrés" que vous pourrez retrouver sur le site Internet d’Anne Clergue, sa fille.
16.11.2014 | Lien permanent | Commentaires (8)
C’est en septembre
Curieux pays que la France. On ne parle que de retraites (*) mais l’on n’entend pas ou peu les retraités s’exprimer !
Tiens au fait, ou sont-ils en ce moment, les retraités? Peut-être en vacances…
J’en rencontre quelques uns sur les routes, plages et villages de mes week-ends du moment.
Ils côtoient des jeunes couples avec leurs enfants « en bas âge » et quelques célibataires allergiques aux coups de soleil. Même que des fois les enfants des jeunes parents jouent avec les petits- enfants des jeunes retraités.
Ce sont les …mais comment appeler ceux qui prennent leurs vacances en septembre ?
Il semble qu’il n’y ai pas de nom, normal la norme c’est d’être juilletistes ou aoûtiens.
Le français normal rentre au plus tard le 20 août, fait la rentrée des classes dans les magasins puis au portail de l’école puis de nouveau au magasin ; ah, le cahier petits carreaux sans spirale ! Epuisé, il s’installe dés 20h devant la « nouvelle grille » des programmes télé.
Au travail, celui qui est en vacances en septembre devient « absent » ! Il est presque en situation irrégulière, montré du doigt dans les réunions, " comment ? Il n’est pas là machin, il ne peut pas prendre ses vacances comme « tout le monde »"!
Pourtant, si l’on analyse les comportements de nos concitoyens, on s’aperçoit que le temps des deux mois de grandes vacances est fini depuis des lustres; que la tendance est de partir plus souvent et moins longtemps, pour différentes raisons (pouvoir d’achat, RTT…). Et quand je dis partir, c’est loin ou à deux pas de chez soi.
Et si les vacances c’était de refuser de rentrer dans ce calendrier que l’on veut nous imposer. Un calendrier bizarre d’ailleurs fait uniquement pour consommer. Les cartables en juillet et les jouets de Noël en novembre.
Et si l’on vivait un peu comme les anciens qui se moquent des changements d’heures en laissant la nature rythmer leurs activités?
Je sais, cela n'est pas possible pour tout le monde mais pitié, ne nous enlevez pas un mois d'été!
Je les regarde avec sympathie ces vacanciers hors norme de septembre.
Ils profitent mieux du temps, semblent moins stressés, sont plus courtois aussi.
Alors, si l’on gardait un peu cet esprit vacances ; si l’on prenait le temps de profiter de ce deuxième été, des rayons obliques de l’astre qui réchauffent les corps et les cœurs sans les brûler ; le temps de regarder ces papillons qui volètent dans les herbes encore vertes ; le temps des coquillages et crustacés d’une grande marée. Même qu'un moment.
Et si sur les blogues, on continuait à se régaler un peu des photos de vacances des uns et des autres, d’un voyage en cours ou de celui de l’an passé ?
On pourrait ! Sur la route et pas que celle des congés ; sur le chemin du boulot ou de la manif (*), sur le trottoir de l’école ou aux caisses de la grande surface, devant le clavier de son ordi…, si l’on prenait le temps de fredonner…
On ira où tu voudras, quand tu voudras…Toute la vie sera pareille à ce matin. Aux couleurs de l'été indien.
C’est aussi cela l’instant présent.
Doux rêveur que je suis, je vous propose de garder un peu de cet "esprit vacances".
(*)Un texte écrit en septembre l’an passé et publié sur Terra Philia. Mise à part le contexte particulier lié à la réforme des retraites, je n’ai pas eu envie de changer (mise à part quelques corrections orthographiques et de style) un seul mot à cette parution que je vous « livre » donc ici dans son intégralité.
Photographies Louis-Paul Fallot:
N&B: L'été indien-St Laurent du Var (septembre 2009)
COULEUR: Soirée à Villefranche sur Mer (Septembre 2011)
15.09.2011 | Lien permanent | Commentaires (7)
Bords de mer et expos photos
Beaulieu sur Mer, plage de La Petite Afrique
Photographies Louis-Paul Fallot
Deux villes à la même terminaison "sur mer" et distants d’une vingtaine de kilomètres. Deux bonnes idées de balades et deux expos « coup de cœur » à découvrir pour ce long week-end qui commence. Je vous emmène à Beaulieu et à Cagnes, sur les bords de mer azuréens.
Bords de mer et expos photos
La mer est transparente, la plage presque déserte ; règne ici une sensation d’ailleurs et d’exotisme…A deux pas du port et des restaurants qui ont dressé leur toiles d’été en extérieur, la plage de La Petite Afrique: nous sommes à Beaulieu sur Mer.
Un bel après-midi qui invite à lézarder sous les rayons d’un soleil un peu timide ce printemps et au son des clapotis d’une mer transparente.
Voilà que la pluie fait une courte apparition mais nous sommes à l’abri en ce début de soirée ; nous venons de quitter la plage pour, à quelques pas nous rendre à la chapelle Sancta Maria de Olivo voir la nouvelle exposition de Roger Bella.
En 2011, Roger en me remerciant de ma visite à sa précédente exposition en ce lieu hors du commun écrivait « Reste à faire mieux ! » Pari plus que réussi, l’exposition est superbe ; Roger habille toute la chapelle de 100 clichés dans un festival de couleurs et de vie qui vous raviront les yeux et le cœur. Sur les murs bien sûr mais ne manquez pas non plus de regarder le travail admirable réalisé par l’artiste qui façonne, fabrique, conçoit et éxécute ses propres ouvrages en grand format et en séries limitées. A noter que vous pouvez aussi voir quelques clichés de Roger Bella en ce moment au Musée des Arts asiatiques à Nice. Et cet été, Roger Bella sera dans la commune voisinne de Villefranche sur Mer en juillet et août.
Début de soirée, traversée de Nice un peu difficile et retour sur le bord de mer cagnois. Je tenais à être présent au vernissage du collectif Photon qui a choisi cette année pour son exposition à la Mairie annexe du Cros un thème qui m’est cher : Villages.
Beaucoup de monde, l’occasion de saluer des amis photographes que je retrouve,tout comme Roger et cela depuis 2007, lors du Festival PhotoMenton . Une belle exposition recouvre les murs de la mairie annexe et des agrandissements que j’ai vraiment envie de voir plus tranquillement. Je vais donc revenir mais cette fois à pied et en prenant le temps !
Il est presque 20h, les rues du village se vident, le bord de mer du Cros de Cagnes prend ses belles couleurs au soleil couchant. Il est temps de rentrer, la tête plein d’images de ce voyage où se mêlent les clochers des villages, les tissus chatoyants de l’Inde et le bleu de la Méditerranée.
Illustrations: Bords de mer et expos phots à Beaulieu sur mer et au Cros de Cagnes
Photographies Louis-Paul Fallot le 6 mai 20132
Roger Bella, "Maman et Moi" à la chapelle Sancta Maria de Olivo à Beaulieu sur Mer, jusqu’au 31 mai
Collectif Photon, Villages » à la Mairie annexe du Cros de Cagnes
jusqu’au 21 mai (Photo ci-contre Magali Moscardo)
08.05.2013 | Lien permanent | Commentaires (5)
Folies niçoises
En quelques minutes, vous aurez presque tout l’aperçu des paradoxes de la Côte d’Azur.
Le « circuit » commence à Rauba Capeu par la descente vers le Port à Nice. Laisser derrière soi la Promenade des Anglais, c’est changer complètement de décor.
Passer le vieux Nice et ses ruelles ombragées et contourner la colline du château non sans avoir salué Frédéric Nietzche qui de ses ballades azuréennes entre Nice et Eze ramena quelques pages de son Zarathoustra. Ces couleurs de Nice ! C’est dommage que je ne puisse les détacher et te les envoyer […] écrit-il à sa sœur.
Changer de décor : Les bateaux pour commencer : des pointus de pêcheurs aux hors-bords, des ferries aux voiliers, du tout rutilant aux vieux gréements, le spectacle est permanent et varie au fil des heures et des événements sur fond de ces façades ocres magnifiés par les couleurs d’un soleil déclinant.
Le quartier du Port était l’un des plus populaires de Nice, et je me souviens de ma première socca, cette galette fumante autrefois plat des travailleurs et maraîchers chez le fameux Pipo.
C’était le temps ou je prenais cette basse corniche qui commence juste après le port de Nice pour ces bains de criques entre Villefranche et Monaco. Ils devaient "se mériter" par un peu de marche et d'escalade et commençaient à Pâques pour finir en octobre.
Aujourd’hui, nous longeons le port. Comme un rectangle non fermé, ouvert par sa jetée sur la Méditerranée. Un peu déçu par ce sens unique -ma promenade de ce jour est en voiture- qui nous empêche de voir de près les barques de pêcheur, nous nous dirigeons vers le Cap de Nice en suivant le parcours fléché des indicateurs routiers.
Arrêt aux portes de La Réserve* avec ses balcons "vue sur mer" et
un excellent sujet photographique en contre-jour de l’entrée balisée du port de Nice.
Sur le trottoir, les joggeurs font des embardées et laissent les badauds au spectacle qui se déroulent en bas, là où la mer vient en grande écume se briser sur les rochers. C’est le paradis des enfants qui inlassablement les escaladent pour d’interminables plongeons. Plus loin, après la minuscule plage et ses escaliers vermoulus, d’autres roches terrasses à bronzer pour solitaires.
L’œil continue sa route vers cet édifice au sommet de l'extrémité du Cap de Nice l'une des plus anciennes "folies" niçoises et celle que l'on voit le mieux, devenue inséparable des panoramas du port et de l'est de la ville. L’écrivain Stéphen Liégeard , l’inventeur du terme Côte d’azur, évoquait une bâtisse qui n’est ni un château, ni un palais, ni une tour, ni un bastion, ni une villa, ni une pièce montée, ni un gâteau de Savoie, ni rien qui ait un nom dans aucune langue .
Ici, l’on parle du « château de l’anglais » même si Monsieur Smith, ce colonel du génie de l'armée des Indes qui fit construire cette demeure fut écossais.
Retour vers la grande bleue où un autre spectacle commence. Celui de l’arrivée du car-ferry Liamone qui amorce un grand virage pour pouvoir pénétrer dans le canal étroit qui longe la jetée, laissant derrière lui une longue trainée blanche sur le bleu de la Méditerranée.
Il est temps de remonter le mont Boron pour redescendre vers le port, maintenant compétemment dans l’ombre et quitter Nice par « sa voie rapide » mais non sans avoir salué le héros niçois sur sa place Garibaldi (qui se fait belle) et qui invite à revenir vous parler -en mots et en photos- d’autres flâneries niçoises.
PHOTOS Louis-Paul Fallot, mai et septembre 2009
Port et Cap de Nice
*La Réserve:
Une Note sur mon Blog PhotosLP où vous pourrez voir une photo de
Charles Nègre prise en 1863 et le lien vers la collection permanente du TPI de Nice
Charles Nègre s'est attaché à saisir les témoignages de deux univers opposés sans jamais privilégier l'un plus que l'autre : celui luxueux et oisif des aristocrates, bourgeois et hivernants étrangers, celui ancestral et laborieux des ouvriers, bugadières, paysans et pêcheurs.
Extrait du Site du Théatre de l'Image et de la Photographie de Nice.
11.09.2009 | Lien permanent | Commentaires (14)