Venise
10.05.2006
VENISE
« A Venise j’ai appris que l’eau
pouvait colorer le ciel comme
le ciel colore l’eau.
Ces deux là sont inséparables,
surtout à Venise »
COROT
J'ai aimé cette phrase écrite par Corot
J'ai retrouvé un livre
J'ai repensé à ce film
J'ai un message pour...
J'ai "visité" quelques sites
J'ai retrouvé ces deux photos, des "argentiques"
MESSAGE:
bon voyage à Annie et Nicole
6 commentaires
Corot est un de mes peintres préférés, Venise en argentique reste encore plus mystérieuse...
Es-tu un ami de Framboise ?
qui a dit " Voir Venise et mourrir" ? c'est un peu pessimiste, j'aimerais visiter cette ville mais à un moment ou elle est vide de touristes.
Une question indiscrete, tu es allé a Venise avec ton amoureuse ?
Bises à vous deux
Framboise faut pas te faire d'illusions Venise aura tjrs des touristes c'est comme ça.....il faut la rêver pour l'imaginer t'appartenir....
Il faut voir bien sûr San Marco, le Ponte di Rialto, ou celui des Soupirs.
Mais il est agréable de se laisser perdre dans Venise et là, Framboise, tu « oublieras » les touristes.
Ou encore prendre le bâteau, de bonne heure pour une ballade à Burano.
Et Venise n’est pas réservé qu’aux amoureux !
Et Venise, c’est parfait pour les amoureux de la Photo.
Pour les amoureux de la peinture!
De l'ART.
Pour les amoureuxde la VIE.
Bises
Moi, quand je pense à Venise, je pense à Marco-Polo, aux voyages fantastiques sur la route de la soie.
A cette Impératrice, aux monts célestes du Tianshan.
Et cette Caravane chargée de trésors et d'épices.
Mais aussi à Canaletto, et Francesco Guardi,
au verre de Murano,
A la promenade en gondole, au clapotis de l'eau
Caché à l'intérieur de la demeure, ce petit puis d’eau douce
Que les touristes ne voient pas.
Je ne passe jamais sous le pont des soupirs de peur de ne pas revenir.
Et puis on ne sait jamais qui porte le masque,
Un véritable ami ou quelqu’un qui vous trahit,
Il y a ainsi un mystère entre la peur et le désir,
Entre la passion et la pulsion,
Qui fait qu’aller à Venise
Est toute une aventure et manque de raison.
Et puis il y a la chanson,
De ce merveilleux gondolier,
Et l’on se laisse bercer,
Par le chant des amants
Qu’il est bon d’être aimé et d’être désiré,
J’ai hâte d’y retourner.
Claude Chatron-Colliet
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