Un matin d'octobre à Méailles (1)
08.10.2009
C'est un site de partage du beau,un hymne à la vie sous toutes ses formes.
C'est un peu comme un poème où de temps à autre, viennent se rajouter quelques strophes.
(page d’accueil de Saison 2, Méailles et ses environs)
Méailles, début octobre 2009
Photo Louis-Paul Fallot
Ce matin, j’ai publié sur Saison 2 un poème d’André Lemoyne "Matin d’Octobre". En le lisant au retour de ces trois jours en Terre de Lumières, je me suis retrouvé sur les chemins de Méailles lors de ces promenades photographiques du petit matin.
Je peux les faire dix fois, cent fois avec toujours cette sensation d’une première fois. Car les saisons sont faites de jours qui nous donnent à voir un même paysage sous une lumière différente. Qui offre un nouvel émerveillement à celui qui franchit le fossé ou le sous-bois. Qui penche la tête vers ces fleurs des prés ou qui regarde l'arbre avec les yeux de l’enfant ou le regard reconnaissant de pouvoir profiter de cet instant.
Lire le poème d’André Lemoyne "Matin d'octobre" et voir d'autres photos.
sur Saison 2
20 commentaires
Je croquerais bien la pomme ! :-)
Jolie promenade. Vraiment la première en N&B est superbe. Bonne journée LP.
Je vais m'en prendre un de pomme, ce midi !!! Bonne journée.
Un brin de mélancolie magnifique sur la première. J'adore! Et pis vlà les pissenlits qui reviennent! Ah, ceux là!
Bisous!
@Barbara
C'est une photo pour montrer le temps (et les champs) de ce début octobre en Haute-Provence. Surprenant! Les "vrais" clichés d'automne attendront un peu...
Merci pour ce très beau poème et Meailles toujours aussi beau!
Bises Louis-Paul
Merci pour ce beau poème que je ne connaissais pas. Et merci pour ces belles photos d'automne.
une fois de plus tu as l'oeil !! bravo pour ces photos dignes des plus grands ! je le salue Louis Paul !
que fume la cheminée, déjà, en N et B,
dans ce si beau village
Il n'y a que Méailles qui t'aille
Des instants photographiques qui ressourcent, visiblement … Comme une méditation, plus rien n'existe que transcrire le ressenti, une réussite … une nouvelle fois !
En regardant vite, la première impression est qu'une troupe de gens escaladent une butte ....
Pfff, mets tes lunettes, Teb !!
La première photo comme sortie de la malle d'un vieux baroudeur. Etrange atmosphère, le clocher qui évoque un tipi et la fumée dans une brume matinale...et comme Teb j'ai cru au premier regard y voir une petite troupe qui montait à l'assaut des toits!
Je comprends que tu puisses les faire dix fois, cent fois avec toujours cette sensation d’une première fois, Louis-Paul.
Je suis allée lire "Matin d'octobre". Je ne connaissais pas ce poème. Il est tout à fait de saison.
Méailles est vraiment un endroit qu'il faudrait que je visite. Je suis sûre d'aimer, à l'avance, rien qu'en regardant tes photos et en te lisant.
Belle fin de soirée à toi, Louis-Paul et douce nuit.
Je t'embrasse.
C'est un émerveillement toujours renouvelé, il y a toujours quelque chose de nouveau à voir a découvrir même si nous y sommes passées des centaines de fois.
le clocher est superbe!!!
Bises
L'automne arrive mais avec un peu de retard..... J'aime ces teintes du début d'automne et la lumière. Bravo pour la première photo en noir et blanc. elle est très belle
Bonne fin de semaine bises
Méailles si bien montrée.
Méailles merveilleusement racontée.
Méailles sur les blogs, haut perchée.
A Méailles j'ai voulu aller.
Et à Méailles, je me suis promené.
LP : un grand merci, ces photos te ressemblent et en beaucoup d'entre nous, agissent positivement. Dans les temps durs il est bon et réconfortant de constater que d'avoir les yeux ouverts est un don !
Merci encore, et je dois te dire (pour avoir été un habitué du lieu) que ta note de ce jour (vendredi) me laisse en larmes... et touché au plus profond de moi....
Amitiés
Doume
Juste un petit coucou en passant je ne reste pas longtemps bisous
merci pour ton com.
j'ai touché sans le vouloir ....
les écrivassiers font n'importe quoi!
Aurélie va ouvrir sans doute un cabinet à Cagnes, ou tout près, entre deux tours de salsa, sa passion.
Beau dimanche à toi,
Fanfan ; à demain pour l'absurde
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