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13.08.2018

Le long des marais de Kerguilloté

 

 

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Les illustrations de cette Note sont inédites, les prises de vue récentes ;  je vous proposerais  en bas de Note  de  (re) visiter  les parutions plus anciennes - consacrées  à cet endroit très particulier pour moi, Kerguilloté.   Si  certaines photos se ressemblent,  beaucoup sont  personnellement chargées d’émotion.   Mais ces images  invitent aussi à votre  propre perception et cela me réjouit qu’elles deviennent  pour certaines  partagées et  grâce à vos  commentaires des   mots et photos  que j’aime lire.


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D’autres photos et textes viendront je pense  en partages ici  et vers d’autres  sites, d’autres commentaires aussi. Un blogue ne serait que peu de choses sans tout cela, merci.

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Marais de Kerguilloté, 2018
Photographies Louis-Paul Fallot




Je vous propose quelques liens de Notes sur ce blogue:

En 2010 : Terres marines
En 2012 :Sentiers et chemins à Kerguilloté
En 2016: Le choix d’une photo


 



Commentaires

Les beaux échanges continuent. Évidemment, tes photos sont belles mais comment pourraient -il en être autrement quand l'âme est présente. Amitiés.

Écrit par : Ariaga | 14.08.2018

"quand l'âme est présente"; la photo publiée sur nos deux blogues venait de ce sous bois (la photo en n&b).Amitié

Écrit par : Louis-Paul | 20.08.2018

Eh, eh ! Voilà un thème fort sympathique et apaisant que celui des marais.
La diversité des sujets, des points de vue, de la lumière, sans oublier l'âme du photographe nous prodiguent une palette de photos souvent proches de la peinture, voire de l'abstraction.

L'introduction d'oiseaux sauvages, voire frêles et souvent furtifs comme peuvent l'être les aigrettes apportent une touche de fraîcheur et de liberté onirique qui me réjouissent également.

Heureusement que les salicornes ne se mangent pas crues ☹️ et que tu ne pratiques pas la chasse au gibier d'eau; ça te laisse le temps de nous concocter quelques images ... à ton image ?

Écrit par : Thierry | 19.08.2018

Ton premier paragraphe me touche beaucoup Thierry.
Et j'aime aussi l'humour des dernières lignes sur les salicornes. Bises

Écrit par : Louis-Paul | 20.08.2018

L'eau... vivante, fascinante... et ses multiples reflets propices au rêve... Tes captures d'eau... si belles ! Merci Louis-Paul, je t'embrasse...

Écrit par : eva | 19.08.2018

"captures d'eau", j'aime bien ce terme Eva. Bises

Écrit par : Louis-Paul | 20.08.2018

Lumière plissée
au chant du cygne
le ciel a fui dans l’eau des marécages
élégance gracile du papillon solitaire
éthéré est l’air entre ciel et terre
parfum de fougère
le ciel résigné fait sa révérence
calligraphie et grimoire sur la pelure eau
des lucioles en sautoir
les âmes silencieuses se penchent
effleurent l’onde de leurs griffes longilignes
lisse transparence
pappus ébouriffés
inflorescence
daucus carota
au cœur tendre

Écrit par : Maria-D | 21.08.2018

Merci encore Maria-D d’être venu ici déposer votre poème ; j’y retrouve dans vos mots l’essence même de toutes ces instants passés sur un chemin qui pour un instant fut le mien, entouré d’une nature qui me racontait des histoires et à laquelle j’ai essayé de rendre hommage tout en me ressourçant. De rêver aussi sans doute et votre "poétique de la rêverie" (pour reprendre un titre de Bachelard) sur ces quelques images est un beau cadeau.

Écrit par : Louis-Paul | 21.08.2018

Marécages: Lieu propice à la méditation. Endroit mort et vivant à la fois.....
Terrain spongieux, saturé d'eau, impropre à la culture, où s'étendent des marais, et qui est d'accès difficile en raison d'une dense végétation aquatique verticale. Marécage immense; Lieu propice à la méditation, images mortes et vivantes à la fois.
profond, vaste marécage; marécage boisé, inextricable, empoisonné, puant; couvert(e) de marécages; relent de marécage. Du gibier qui sent le marécage. Tout ce pays-là n'est qu'un grand marécage. Les saules, les oiseaux aquatiques se plaisent dans les marécages (Ac. 1835-1935). Plaine onduleuse encore mouillée, chaussée sinueuse, à travers des marécages et des limons, où les buffles enfoncent jusqu'aux genoux (Fromentin, Voy. Égypte, 1869, p. 90).Dans une autre [métairie] que traverse le gros ruisseau, où il déborde souvent, la terre, faute de fossés d'écoulement, est retournée aux alentours au marécage, encombrée de plantes aquatiques, si spongieuse qu'elle en est devenue élastique sous le pied (Pesquidoux, Livre raison, 1932, p. 217):

Écrit par : Robert de Nice | 24.08.2018

Ce n'est pas dans la même région mais tu me fais découvrir un beau texte, merci Robert. Oui ce sont des lieux "propice à la méditation, images mortes et vivantes à la fois."

Écrit par : Louis-Paul | 24.08.2018

Quand l'émotion de l'artiste croise celle du visiteur, le travail est accompli! De bien belles balades au pays de l'imagination et du rêve! Merci!

Écrit par : alezandro | 25.08.2018

Merci Alezandro pour cette très belle phrase, "cette émotion qui croise celle du visiteur". J'aime la retrouver sur les blogues que nous aimons.

Écrit par : Louis-Paul | 29.08.2018

Les commentaires sont fermés.