Masséna ou ...
MA SCENE A…MOI
Ou encore un article où je me lâche un peu.
Car je ne ferais pas ici une note sur la plus célèbre des places niçoises. Un clic sur un
lien ou un bon guide de voyage fera mieux l’affaire pour tout savoir sur sa riche histoire et ses transformations au fil du temps. Et puis, je connais un ami bloggeur qui habite tout près, qui a la plume facile et qui racontera peut être "sa place Masséna". Toujours est-il que je devais m’y rendre - c'était presque un ordre - pour voir de mes yeux - ce qui se passait sur cette illustre place depuis qu’elle fut « rendu » (aux Niçois)le samedi 16 juin.
Masséna : place maintenant aux Niçois titrait le quotidien Nice-Matin et le Maire d’ajouter « Nous allons observer comment ils (les Niçois) vont s’approprier ces installations nouvelles. »
Voici donc quelques-uns unes de mes constatations, c’était 12 jours après l’inauguration :
Pas entendu ni le Niçois ni le Français, à priori, ce sont les touristes qui en ce tout début d’été se sont « approprier » la place. Vu beaucoup d’appareils photos et deux mondes qui visiblement ne se côtoient pas. Devant la fontaine, couples ou groupes posent pour immortaliser ce grand moment. L’appareil photo est compact, çà clique et ça flashe à tout va. Impossible de prendre une vue d’ensemble autres que celle de groupes de touristes, je reviendrais plus tard ! Sur la place elle-même, le changement est bien visible : Les voitures ont disparues, le tram n’est pas encore là, c’est super comme un bout de désert ! Les appareils photos ont ici une toute autre forme, les télés objectifs sont « énormes » et
certains ont même un porteur de « matos », un peu comme sur un terrain de golf…
Je m’amuse comme un petit fou à prendre quelques clichés un peu « déjantés.
Les couleurs sont superbes et les derniers rayons de soleil magnifient les ocres jaunes des façades.
FIN DU PREMIER ACTE
Retour sur la place, la nuit venue. Là, c’est beau comme une ville la nuit, on s’attarde un peu pour comprendre cette architecture originale de bancs et de dalles. Certains bancs sont squattés par de gentilles bandes de jeunes étrangers - désolé mais toujours pas de Niçois - .encore habillés des serviettes de plages D’autres bancs luisent sous les projecteurs, il est temps d’en essayer le confort.
Le spectacle est plus intime et moins frime. Alors, il faut poser l’appareil par terre, se mettre en mode retardateur et laisser faire quelques clichés . Après avoir regardé le résultat sur l’écran numérique, on peut partir se coucher tranquille et rassuré, la preuve est là (photo ci-dessous) , la terre est bien ronde.
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