15.01.2011
Merci Wiki
Je me rappelle le 1er jour : j’ai cliqué sur Modifier et écrit
Bonjour le monde,
et ce fut le début de Wikipédia et de tout ce qui a suivi.
Jimmy Wales cité par Framablog.
Photographie: Lane Hartwell - Design David Peters, pour Wikimedia Foundation/Relaxnews
J’ai fait quelques clics, lu plein de chiffres impressionnants et publiés (voir LIENS) à l’occasion de cet anniversaire: 7 milllions d'articles rédigés par les internautes dans près de 270 langues, 5ème place du site Internet le plus consulté au monde, 410 millions de visiteurs chaque mois…
Mais il en manque un qui restera sans réponse...
Combien de fois ai-je cliqué sur des mots qui m’ont amené sur Wikipédia ?
Et vous?
QUELQUES LIENS:
Wikipédia fête les 10 ans d'un succès planétaire par Frédéric Boillat sur tsr.ch
Sur Gizmodo.fr 10 ans ! Bon anniversaire Wikipédia !
Wikipédia a 10 ans sur Le dernier des blogs
Dans Métro, l'interview de Jimmy Wales à l'occasion des 10 ans de Wikipedia:
Un dernier clic? Sur le bandeau "anniversaire" ci-dessus pour accéder à Wikipédia.
Publié dans Actu, Vu, lu, entendu dans les médias, Web | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : wikipédia, 10 ans, anniversaire | 08:09 | Facebook | Imprimer
10.01.2011
Le chanteur des BO de mon enfance
Toute la journée, j’ai fredonné « Si toi aussi tu m’abandonnes » !
J’ai appris sa mort en écoutant la radio et John William était paraît-il oublié depuis longtemps. Pas une ligne dans la presse écrite du jour, annonce le journaliste de France Inter ! Alors oublié John William ? Pas de ceux en tout cas et dont je fais partie qui ont « baigné » dans les 45 tours, les séries télés et les bandes originales de films (BO) du chanteur franco-ivoirien. Allez, juste quelques titres parmi tant d’autres: Docteur Jivago (La chanson de Lara), Le train sifflera trois fois (Si toi aussi tu m’abandonnes), Il était une fois la révolution et que je n’oublie surtout pas …un des héros de mon adolescence, Thierry la Fronde !
En 1952 (Sourire, une grande année) il reçut le Grand prix d'interprétation à Deauville, avec la chanson Je suis un nègre. Belle revanche pour celui qui avait connu les souffrances de la déportation de mars 1944 à mai 1945 au camp de Neuengamme en Allemagne. "La découverte qui devait changer toute ma vie, je la fis un soir dans l'obscurité d'un cachot. Alors que nous étions en plein spleen, l'un de nous proposa que chacun chante une chanson pour rompre le silence", a-t-il raconté bien plus tard. Tous lui prédisent alors une carrière de chanteur. Sorti de l'enfer des camps, il prend des cours de chant et débute dans les cinémas et cabarets. (Source AFP).
John William de son vrai nom Ernest Armand Huss avait effectué en 2005 une tournée d'adieu en Martinique. Il s’est éteint samedi soir à Antibes à l'âge de 88 ans, a annoncé dimanche sa fille Maya. Allez, magnéto hommage :
Publié dans Chansons qui m'inspirent, Vu, lu, entendu dans les médias | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : john william, chanteur, cinéma, enfance | 21:01 | Facebook | Imprimer
29.11.2010
Faits d'hiver
Et voilà que le temps (au sens du « temps qu’il fait ») s’y met aussi. Nous avions déjà les vitrines de Noël pour la Toussaint et les guirlandes prêtes à l’emploi (ampoules éteintes il est vrai) dans nos villes, et voilà que la météo nous fait son marketing du « blanc » en novembre. C’en serait donc fini de l’automne, des feuilles balayées par le vent et des couleurs de rêve qui nous enchantent en cette saison ?
Il serait plus simple de changer la date officielle de l’hiver. Le 29 novembre serait la date idéale. Cela fait 26 ans que les Restos du Cœur existent et ce lundi " ils remettent le couvert"! Les Restos, c’est malheureusement passé dans les mœurs sauf que chaque année, il y a un peu plus de couverts à mettre et de mal pour cette Association (et les autres) à trouver les moyens de faire quelque peu , face à la misère « institutionnalisée ».
La voilà la grande différence d’avec le temps : Contre le verglas et les flocons précoces, on ne peut pas grand chose sinon prévoir nos stocks de gros sel et gérer nos pointes de consommation d’énergie. Et cela « on » a appris à le faire. Mais se donner les moyens d’une lutte efficace et à long terme contre la misère que chacun de nous peut voir sur le trottoir près de son toit, « on » ne sait faire. Reste posée la question : On ne peut ou on ne veut ?
L’appel de l’abbé Pierre date d’encore plus longtemps que celui de Coluche. La première victime du froid, elle avait 40 ans. Cette femme est morte samedi dans un hall d’immeuble d’un arrondissement d’une très grande ville de France.
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