25.10.2008
Anniversaire

Tu sais c’est l’anniversaire !
L’anniversaire de qui ?
Celui du Blog !
Le Blog, c’est qui, c’est quoi ?
C’est un truc sympa sur la planète du Net.
Ah oui, encore un truc des hommes pour communiquer.
Oui, mais aussi pour partager. Tu verras c’est pas mal.
Oui je sais, j’ai lu la Note de LP hier.
Bon on y va ?
Oui, paraît qu’il a mis une petite animation pour l’occasion.
Les commentaires sont ouverts bien sûr, sur la Note ci-dessous
et sur le Blog de Méailles et ses environs.
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24.10.2008
Demain, j'ouvre un Blog!
Timide et même pas l'ADSL...mais tellement envie de partager.
Un Blog allait naître, et le modèle allait en être un village de Haute-Provence.

Et j'écrirais ma première Note:
Je me présente
J'aime la photo.
J'aime ces moments ou j'essaye de mettre dans cette petite boîte
L’image que je cadre déjà dans mon cerveau.
J'aime les photos.
Et les partager.
Je découvre toutes les possibilités de la toile,
Et aujourd’hui,
Je me lance.
Louis-Paul

Trois ans plus tard, trois Blogs de plus...
Pour ce jour je continue.
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21.10.2008
Une sage révoltée
Ce qui me tord le coeur, c'est l'enfant meurtri, jamais je ne pourrai l'accepter.
Soeur Emmanuelle
Il y en déjà eu et il y en aura des hommages…
Le mien sera de recopier ces quelques lignes, publiées 15 avril 2006 sur ce Blog dans une Note intitulée« Sérénité »
A l’époque, j’avais écrit: « un extrait que j’aime beaucoup ».
En fait, vous pouvez l’ouvrir à toute page ce bouquin publié en poche.
Leçon de vie garantie. Yalla.

Soeur Emmanuelle à Arles en mars 2005 (Sipa)
Source : nouvel.obs.com
Extrait de ma Note du 15 avril 2006:
Soeur Emmanuelle s'adresse dans ce livre ( Vivre, à quoi ça sert? ) à ses contemporains "poursuivis par le non-sens" et en quête de libération spirituelle. Un extrait que j'aime beaucoup:
(…) J’ai voulu transformer la planète comme un dieu qui reforme le monde. Mais c’était un leurre, car, bientôt, je ne me suis trouvée que devant le désenchantement. Tout à coup, on s’aperçoit que la somme des actions n’arrivera jamais à supprimer la misère du monde, qu’elle ne touche jamais qu’une infime partie de l’humanité. Ce désenchantement, s’il n'est pas amer, est nécessaire. Il met dans la vérité. Il est juste et bon d’agir, mais il est bon aussi de se rendre compte des limites de l’action et d’accepter de n’être qu’humain, fini. Le cercle infernal est alors brisé, le cercle du perfectionnisme, le cercle de la course aux résultats, à l’efficacité. Vient alors l’action équilibré, sereine, qui a renoncé à l’idéalité.
Pour exprimer ce point d’équilibre, j’ai transformé en prière une sentence de Marc Aurèle :
Seigneur, donnez –moi la sérénité d’accepter ce que je ne peux pas faire,
La force de réaliser ce que je peux faire,
La sagesse pour discerner entre les deux. (…)

Sœur Emmanuelle, Vivre, à quoi ça sert ? Récit
J'ai lu
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