15.06.2008
Folon à St Paul de Vence
« Attacher mon nom à une chapelle de St Paul sera une déclaration d’amour à tous ceux que j’ai aimés dans ce village, parce que c’est un lieu de vie. Or Picasso disait que l’art et la vie ne font qu’un ».
Folon

Ouverte au public depuis samedi, si vous passez cet été par St Paul de Vence, ne manquez pas de visiter la Chapelle des Pénitents blancs. Et dans le village et alentours, les œuvres et expositions de celui dont Frédérico Fellini disait :
Je crois à la lumière, la lumière doit être celle que l’imagination demande. La lumière de Folon ne sera jamais celle que le soleil peut lui donner. Il a inventé une étrange lumière venue d’ailleurs...

Je serais absent quelques jours et tenait, avant de partir à partager ce grand moment de joie et d’émotion.
Oui, le générique était magique hier, à St Paul de Vence.
Un guide est remis aux visiteurs, particulièrement bien fait.
Il raconte Folon l’artiste, son attachement et ses liens avec St Paul de Vence.
Il explique la genèse de la chapelle, comment cette œuvre d’art a pu se concrétiser malgré la disparition de l’artiste. Vous y trouverez également les explications sur la technique de « Ravenne » utilisée pour la mosaïque de 106 m2 qui orne le fond de la chapelle. Un petit « must » de Guide gratuit pour se promener avec Folon dans les rues de St Paul.
PhotosLP: A droite, L'envol, sculpture Folon à l'entrée du village.
La Version PDF du guide remis aux visiteurs:
http://www.guypietersgallery.com/fichiers/expositions/64/folon_stpaul.pdf

Publié dans Art, Découvrir | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : folon, saint paul de vence | 08:20 | Facebook |
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14.06.2008
2 photos et 2 Blogs
Petit hommage azuréen (et photographique) à deux Blogs où je me rends souvent pour « apprendre » plein de choses sur la vie des animaux. Ils ont de très nombreux visiteurs et le méritent bien.

PhotosLP prises le 5 mai 2008
Embouchure du Loup, Alpes-Maritimes.

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13.06.2008
Mon foot à moi

Publié sur ce Carnet en juillet 2006: Mon foot à moi.
Une Note (très légèrement) ré-écrite et avec quelques liens .
Jamais passionné, j'ai toujours aimé les beaux spectacles, les ambiances…
Souvenirs aussi du premier match en couleur, sur la télé des grands parents de mon « pote » Philippe: Coupe du monde en 1970, je crois, mes yeux, émerveillés, n’ont vu que du vert et du jaune ce jour là.
Encore le jaune et le vert, mon enfance et adolescence au rythme des exploits des Canaris nantais et le vieux stade Marcel Saupin.
Des noms de joueurs gravés à jamais dans ma mémoire. C’était facile, on retrouvais les mêmes, à Nantes et dans la sélection nationale. Les joueurs n’étaient pas encore un produit marketing. Je croisais le gardien Eon en bas de mon HLM.
Plus tard, quand mes parents ont quitté Nantes pour Orvault, je saluais le père du "jeu à la nantaise", l’entraîneur José Arribas qui habitait le même quartier.
Ensuite, le foot, ce sera de temps en temps, les finales surtout, un match choisi comme un film, avec l’espoir que les acteurs seront « bons », que le décor me plaira…
Et puis 98, la découverte du Stade Vélodrome à Marseille. Un fort mistral, un Dugary sifflé puis ovationné, les tenues africaines et la joie de ces supporters noirs enfin libéré du joug de l’apartheid. Dans mon album au milieu des photos, un billet « collector » : France Afrique du Sud, le premier match des futurs champions du monde.
98, je n’ai jamais autant regardé de matchs, le temps d’une France « Black Blancs Beurs ». Souvenir de belles images d’une fête improvisée sur le cours Saleya à Nice, d’une brésilienne en jaune et vert, un drapeau tricolore à bout de bras.
Et puis cette finale, sur un écran géant au Cros de Cagnes et cette fête gâchée. Trop belle sans doute pour le supporter que j’étais alors et ses émotions noyées au rythme des demis.
En Juillet 2006, j'écrivais en publiant cette Note une première fois "aujourd’hui, je suis heureux de pouvoir profiter de toutes ces couleurs sur mon petit écran: du jaune,du vert, du rouge, du blanc, et ce bleu retrouvé."
Cette année, je ne suis pas vraiment "rentré" dans cet euro 2008. J'attends de vibrer, ce soir peut-être.
Mais je crois que j'aimerais toujours le spectacle d'enfants tapant dans une balle, sur la place d'un village.
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