Le Blog de Louis-Paul

Le Théatre de Guignol à Cagnes sur Mer, Place De Gaulle le 19 juillet 2013
Photographie Louis-Paul Fallot


En bas de chez soi, ville ou village, forcément pas loin, il y a une place. Sur les lieux de vacances aussi. Des lieux qui s’animent le temps d’un marché, d’un concert, d’un festival…

Coquelicots à Méailles, 2 juillet 2013 - Photographie Louis-Paul Fallot

A certains, les vacances disent la fin de quelque chose.
A d'autres, elles disent le début d'autre chose.

Je suis devant mon écran depuis un bon moment. J’ai mal dormi et ai donc appliqué ma bonne vieille méthode qui consiste à ne pas tourner/virer dans mon lit mais à me lever; je sais que je pourrais, par une sieste réparatrice  pallier dans la journée  ce manque de sommeil.  (Un privilège de ce « temps nouveau »)
Je suis donc sur mon ordi et je vais d’un classement de photos prises  la veille  à la retouche d’une Note en projet. Les deux m’amènent souvent à des recherches sur le Net,  qui deviendront des « copié/collé »  en bas de mes fichiers personnels ou de mes projets de publications.  (Oui, je sais ; je vous ai déjà raconté tout cela !)

Quand arrive ce moment de fin de nuit ou  de presque jour,  je peux  constater  avec plaisir l’achèvement d’un billet, prélude à de nouveaux partages. Ou  me satisfaire d’avoir rédigé un courriel dans ma pile de correspondances en attente, mis un commentaire sur la page d’un blogue lue la veille…Mais je peux aussi me rendre à l’évidence : la barre de navigation de mon PC est saturée d’http ou de pixels  mais rien de concret  n’est sorti de ce foutu bazar!
C’est le cas ce matin au moment où je me décide à rendre visite à quelques blogues amis, abandonnant provisoirement le mien et ses brouillons inachevés…Et pourtant, j’en avais des idées, des clichés mais trop sans doute ; un air de Samaritaine dans la tête pour reprendre le  titre du billet du jour de l’ami italien. 
C’est souvent à ce moment qu’abandonnant tous mes dossiers  ouverts, mes doigts se laissent aller sur un nouveau fichier, que les mots se mettent à couler tous seuls de l’encre de mes pensées et qu’une  nouvelle page d’ici et maintenant s’inscrit sur ce carnet.  Belle journée à toutes et tous, l'été arrive. En illustration, un peu de ma journée d'hier.