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20.02.2014

Elections municipales : Quelle équipe pour ma ville ?

 

Cagnes- élections municipales-1.jpg
Cagnes sur Mer, vues du haut du haut du château, 2013
Montage et photographies Louis-Paul Fallot



Ainsi donc, nous allons voter. Pour une élection pas comme les autres, une élection de proximité !  Elire un ou une maire, c’est en effet décider de ce que nous voulons –souhaitons du moins – pour notre quotidien à venir. Ce n’est pas rien et c’est du concret.  Car en France, le maire, c’est à la fois  le représentant de ce qui se passe  au plus haut - l’Etat -  et au plus près –la commune. (1)

Pas de maire sans conseil municipal et pour commencer, il convient  je pense de saluer les " sortants"   qui ont durant 6 ans géré les  affaires de la commune et de remercier plus particulièrement ceux d’entres eux qui cette fois ne sollicitent  pas un autre mandat.

Nous allons donc devoir choisir une nouvelle équipe qui élira le maire. C’est le premier point que je vais regarder attentivement  en  regardant de près les listes en présence: Le nom bien sûr de la " tête  de liste" , qui brigue la fonction de premier magistrat et qui pour moi doit être  à la fois   leader et animateur, visionnaire et gestionnaire,  femme ou homme de dossier et de terrain. Aussi  les noms qui suivent sur la liste et  qui s’ils sont élus deviendront les premiers adjoints et seront  aux principales délégations. Puis le reste de l’équipe. Est-elle cohérente ? Tous ces gens peuvent-ils vraiment  travailler ensemble ?  Sont-ils unis autour d’une même vision pour leur ville ? C’est l’acte un de mon information de citoyen. Je serais attentif ensuite aux choix proposés pour ma ville par les candidats et qui guideront le mien, au moment de déposer mon vote dans l'urne.
 

(1) Démocratie locale, à lire  sur vie publique.fr Quelles sont les fonctions d’un maire ?

 

22.11.2012

L'implosion

 

Panneau-PhotosLP Fallot.jpg

Un panneau d'affichage à Paris - Photo Louis-Paul Fallot, 2012

 

Je ne parle ici que  rarement de politique. Ce n’est pas la raison d’être première de ce blogue.

Mais je m’y intéresse comme chacun et d’ailleurs, j’aime à rappeler qu’à l’origine le mot politique a pour sens   qui se rapporte à la cité, ( polis en grec) . "La cité est l'ensemble des citoyens organisés suivant des lois. Cette organisation est un politeion, mot que l'on peut traduire par constitution. Selon Aristote, c'est l'appartenance à cette constitution, largement indépendante des conditions matérielles, qui fait le citoyen et fait naître en l'individu le sentiment de participer à un groupe collectivement administré. " (Source Wikipédia)

 J’appréciai donc de  participer  et contribuer à des débats d’idées, d’échanges et de partages sur Terra Philia, blogue ayant cessé ses publications mais toujours en ligne.

Je me suis souvenu en suivant l’actualité de ces jours d’un billet que j'avais écrit et  dont le titre était Enfin, l’implosion politique ?

Quelques extraits:

 (...) Ce qui est vraiment nouveau ou plus exactement qui apparait au grand jour, c’est l’obsolescence du système issu de notre 5ème république, son inéquation avec la société d’aujourd’hui, celle du 21ème siècle. C’est l’impossibilité pour le citoyen électeur de s’y retrouver dans ces partis « traditionnels » qui disparaissent sous les « personnalités » .
Où dans un même mouvement se côtoient des hommes et femmes se voulant toutes et tous leader mais ne partageant pas grand-chose d’idées et valeurs communes.
Il est loin le temps des grands hommes qui sont devenus hommes d’Etat parce qu’avant, ils avaient été de grands hommes politique qui savaient rassembler, fédérer. Autour d'idées et d'un projet. 

(...) Aujourd’hui en effet, on trouve les idées les plus conservatrices et celles les plus progressistes dans un même parti. Les femmes et les hommes qui les portent se côtoient de plus en plus difficilement. Le citoyen électeur est perdu, il délaisse son bureau de vote.

Je terminais ce billet en évoquant l’éditorial d’un chroniqueur de radio :  

(…) comme le dit l’éditorialiste de France Inter, l’épisode que nous venons de vivre montre que, malgré les pesanteurs institutionnelles, tout est là pour un « Big One » en 2012.
 

Une de Libé.jpg

 

C’était…le jeudi 24 mars 2011 à l’issue du premier tour des élections cantonales en France ; quelques jours plus tard, le 9 avril, le quotidien Libération faisait la  Une que je reproduis ci-contre.

En commentaire, j’avais écrit que ce serait un « best » !

28.08.2009

"Yes, week-end!"

 

Sur un mur en-Provence-PhotosLP (2).JPG
Photo Louis-paul Fallot
Haute-Provence - juillet 2009

 

 

 

Le faux candidat/acteur  d’outre-Rhin  avec son slogan « Yes, week-end !» (Voir Lien ci-dessous) et  ses autres pitreries fait  ressortir l’apparent désintérêt des électeurs allemands qui s’apprêtent à élire leurs représentants au  Bundestag. (Parlement)

En France nos  partis hexagonaux sont les uns après les autres  « en universités d’été ».

Au menu : les enseignements des dernières élections  et surtout préparer les prochaines !  .

Des idées pour l’avenir, un programme à construire? Vous rigolez, ces gens sérieux ont  tous l’œil rivé vers,  un peu les régionales de l’an prochain, beaucoup  les présidentielles de 2012!  Avec la seule question qui vaille :  Qui sera candidat ?

 

 

La victoire à 10%. Sur un mur en-Provence-PhotosLP.JPGNous avons recalculé tous les scores à partir du nombre de personnes inscrites sur les listes électorales.

Les hommes politiques feraient bien de méditer sur ces chiffres, lus sur un mur cet été quelque part sur la place d’un village provençal de cette France dite « profonde ».

 

 

 

 

LIEN:

Lire l’article de Marie FAVEREAU dans Ouest-France.fr