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Rechercher : vacances

Quelques mots

Expo Renoir 2008 à la Maison des Artistes de Cagnes-PhotosLP.jpg
PhotosLP, prise le 25 juillet sur la place du Château du Haut de Cagnes.

 

 

 

Tout d’abord, merci de vos passages et de vos mots déposés ici. La moitié des commentaires me souhaitent de « bonnes vacances »…elles sont à venir! 

C’est sans doute cette photo sépia de ma Note précédente  qui a entretenu une petite confusion.

Elle symbolise ces congés de fin de semaine ou ces  quelques jours d’été sur les routes de France, de la Nationale 7 aux petites départementales  traversant les villages. De ce temps  où l’on prenait encore « le temps ». Bref, une photo d’été un peu éloignée de l’actualité de ce mois de juillet 2008  où la courbe du prix du baril a pris le pas sur celle du thermomètre…

RENOIR MDA ARTICLE NICE-MATIN.JPGLa « pause » sur ce Blog m’a donc permis de consacrer du temps à   l’exposition  collective des Artistes de Cagnes sur Mer  qui rend hommage à Renoir en cette année 2008 et dont je me fais écho dans les articles publiés dans ma Galerie PhotosLP.

Vous y trouverez les liens vers quelques photos des oeuvres et des exposants publiées sur le Blog de  la Maison des Artistes.

Ensuite,  en m’isolant quelques jours loin de la ville et d’Internet,  pour  me concentrer sur un projet photographique nécessitant le long travail de sélection et classement  qui suit  une année de prises de vue.   

Expo,  projet de livre….J’ai retrouvé sur un Blog ami une phrase d’actualité, déposée en commentaire il y a plusieurs mois :

Hier soir, je suis tombé sur des photos (magie du numérique et du classement par dates...) prises l'an dernier: Presque les mêmes!
Et ce n'est pas la première fois que cela m'arrive en des endroits différents.
Ce qui évolue par contre, c'est la photo "plus travaillée", plus aboutie. Un peu comme un texte, poème sur lequel on revient et qu'un jour on se dit, voilà, comme çà, je le sens. Viens alors le moment du regard d'autrui qu'il faut accepter. C'est aussi le moment du partage.

 

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Ce temps particulier

 

carnet de vacances septembre 2016Ce sera une photo ou un mot, quelques phrases peut-être, pour exprimer un état, une sensation encore brouillonne qui va se décanter avec le temps, un temps où vient se mélanger souvenirs et rêves éveillés, un temps d’images qui défilent et se perdent dans le tracé d’une carte où qui dessinent un nouveau territoire aux contours mal définis. Et pourtant tout est précis mais rien n’est encore construit dans cet album d’instants de vie. Le sera-t-il à la manière d’un carnet de voyage aux mots inscrits au jour le jour ? Sera-t-il enrichi de ces recherches postérieures au voyage et qui viennent compléter et poursuivre un temps qui forcément fût limité. Un temps dit de vacances où tout est différent avec d’autres mondes sans aller au bout du monde ! S’arrêter et au retour laisser décanter ce qu’il convient de nommer un temps particulier. Alors le partage peut se faire, avec soi en premier dans sa tête un peu submergée. Puis avec celle qui à ses côtés écrit aussi le voyage à l’encre de ses propres émotions. Avec la famille et les amis retrouvés, aussi avec ces personnes rencontrées le temps de quelques paroles et dont l’on retrouve une trace dans la poche d’un sac à dos ou d’un ciré. Mais il suffira d’une image retrouvée, d’un mot, d’un commentaire, ou d’un courriel…. d’un clic sur un moteur de recherche, de tant et si peu de choses pour que le voyage mental reprenne le cours de ses chemins multiples devenus un bout de son parcours. Alors viendra le temps d’en écrire quelques pages et de les partager.

 

Ce texte est « une réécriture » d’un billet écrit en 2008 sur le blogue Terra Philia avec pour titre "Le paradoxe d’un (non)-partage". Une amie des blogues avait alors déposé ce commentaire si juste : "Cet état d'être particulier, je l'appelle la "sentimacération". Un trempage de ressenti(s), durant un temps plus ou moins long, afin d'en extraire des sucs d'émotions pures, un concentré "d'instants rares".  Du jus de bonheur, en quelque sorte !"

 

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La vie au fil de l'eau

 
La vie au fil de l'eau...

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Dans océan, j’entends en premier Eau.
Cette eau qui bouge au gré des marées.
Cette eau salée qui lors du bain me porte
Et me fait tousser si je « prends la tasse »
L’océan de ma petite enfance
Que nous appelions La mer.

En Bretagne, toujours l’enfance et les vacances
Il y avait aussi « les terres »
Et de belles après-midi
Au bord d’un plan d’eau, d’un étang
Images gravées à jamais souvenirs de Locminé

Puis j’ai découvert le ruisseau, le torrent
La montagne et la récompense de l’eau
D’un lac après des heures de marche
Plus tard à  Camurac, à deux pas du chalet
Le « Lac » peint par le père, photographié par le fils
Eté ou hiver passage d’étape
Sur la route qui descend au village.

Hasard de la vie, voilà Nice et la méditerranée
Si bizarre au départ
Sans sable ni marée et peu de place l’été
La recherche d’autres plages, plus loin vers Cannes ou le Var
Pour retrouver « du sable »
Que ma fille puisse faire des « pâtés »

Et puis la mer a disparu de mon univers
Le désordre intérieur, la douleur les chimères.
Tempête dans un corps, perte de l’esprit.
Touché le fond du désespoir

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Jusqu’ à l’espoir enfin et la vue chaque jour
Sur la terrasse de Cabris, du lac de St Cassien.
Eau de table ou de source
Remède à ce corps meurtri.
Début de nouvelle vie,

Comme un bébé apprendre
A marcher sans béquilles, à nager sans bouée
Et le bonheur enfin, de l’esprit clair du petit matin.

 

Le bonheur de pouvoir admirer les bateaux
Du Cros ou de Bretagne
Que j’aime tant prendre en photos
Ce soir, c’est mercredi
Près du port et de ses bars
Je monterais l’escalier où est posée

Une vieille barque de pêcheurs.
Je pousserais une porte pour retrouver
Mes amis de nouvelle vie
Et donner espoir à ceux  dans le désespoir.

 

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Ce jour, tout simplement
Déposer  ces quelques mots
Comme une bouteille à la mer

 

Texte et photos Louis-Paul Fallot

 

 

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La Socca (Chez Pipo à Nice)


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C’est l’été, le temps des vacances, des voyages, des retours en famille, des séjours chez des amis ou tout simplement d’une sortie près de chez soi où l’on s’attarde et s’attable sur une terrasse ombragée pour déguster une spécialité de l’endroit visité…

J’avais proposé pour la prochaine thématique du "défifoto"   Plats régionaux .
Mon sujet, bien placé lors des votes  n’a finalement pas été retenue (du moins pour cette fois ) mais j’avais une idée précise de la photo que je voulais publier… et de l’endroit où je réaliserais mon cliché !

 
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Le quartier du Port était l’un des plus populaires de Nice, et je me souviens de ma première  socca, cette galette fumante autrefois plat des travailleurs et maraîchers chez le fameux Pipo  écrivais-je  sur ce blogue dans une Note de l'été 2011 . Je suis resté très longtemps sans y retourner mais depuis quelques mois, nous aimons venir  y déguster une portion accompagnée d’une salade, de mesclun bien sûr.

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Nous apprécions l’équipe  qui a repris cet établissement légendaire, son accueil et  service et moi qui suis très difficile sur ce genre de plats (autant que sur les crêpes, c’est peu dire !), j’apprécie ici la finesse de la pâte.  Mais il est temps de vous présenter ce plat et pour ce faire, rien de mieux que de se rendre sur le site de chez pipo.fr  Extraits :

 

Histoire de  La socca.JPG"On peut trouver sous différents noms et différentes formes des galettes à base de farine de pois chiche de Gênes à Marseilles - et dans d’autres pays en Afrique du Nord ou en Amérique du Sud - mais c’est à Nice qu’elle s’est définitivement ancrée dans le patrimoine culinaire de la ville, sous l’appelation « socca ».  (…) Cette spécialité est plus probablement arrivée d'Italie au XIXe siècle avec les immigrants gênois.
Le commerce de la socca commença avec ces charpentiers gênois, ramenés par l'armée napoléonienne pour travailler dans les chantiers navals et réparer l'arsenal toulonnais.  Mais c’est dans les années 1900 que le plat se serait popularisé à Nice, en particulier par l’intermédiaire d’une marchande ambulante de socca, une certaine Théresa, qui « à l’heure des oiseaux et des pêcheurs » se rendait vendre sa production avec un fourneau ambulant".(...)
Source : Extrait et photo :  Histoire de la Socca sur le site Internet chezpipo.fr 

 

 

Et si le fourneau ambulant n'existe plus, en dégustant votre socca, vous pourrez  aussi voir, devant chez Pipo d'autres moyens de transport... devenus sans doute pièces de collection.

 

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Chez Pipo à Nice, photographies Louis-Paul Fallot, 2013

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Tranches de vie en Baie des Anges (La 1000 ème Note!)

 

Le Vieux Nice-PhotosLP Fallot   (3).jpgLorsque je suis arrivé sur la Côte d’Azur à la fin de la décennie des années 70, je me suis installé à Nice, au Nord puis à l’Ouest de la ville.  Mais, lors de mes temps libre,  c’est surtout vers le bord de mer que le « breton exilé » aimait se promener. En premier lieu dans la vieille ville, là-même où se déroule cette année le Festival du Livre.
Il y avait encore les anciennes poutres de métal du marché du Cours Saleya  où je découvrais les produits du Sud et puis le fameux marché aux fleurs qui attire tant de touristes. D’ailleurs dans ces moments où j’arpentais les ruelles appareil photo en bandoulière, je me sentais   plus touriste que résident.  Il faut dire que dans cette partie de la  ville règne  pratiquement toute l’année  un air de  vacances .
Puis j’ai quitté Nice pour  la commune voisine de Cagnes sur Mer  où je me suis sinon  enraciné, du moins installé sur le long terme.   Mais je suis retourné dans la vieille ville un temps et chaque jour mais cette fois pour y travailler… Je profitais des pauses repas pour mieux connaître ce quartier ou déjeuner d’un sandwich sur les galets de la plage.
J’aime toujours  me rendre à Nice (mais pas trop souvent) et y  réaliser chaque année quelques séries de photos.  J’ai étendu bien sûr les lieux de mes balades   mais j’aime retrouver l’atmosphère de la vieille ville, entre la Place Masséna à celle de Garibaldi, le long de  cette fameuse  Baie des Anges.
C’est aussi le nom d’un  livre de Max Gallo qui m’avait passionné en arrivant sur cette Côte d’Azur.  Cette année, le Festival du Livre  se déroule dans le vieux Nice et je serais sur le stand…des éditions Baie des Anges.
Oui, tranches de vie et  souvent en bord de mer…
Et c'est ce jour la 1000 ème Note publiée sur  Le Blog de Louis-Paul.
Oui, tranche de vie...Merci car c'est souvent grâce à vous que j'ai continué ce carnet d'ici et maintenant. 

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Muguet, 1er mai et 100ème

 

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"Le muguet vient du Japon, il symbolise le renouveau, la victoire du printemps sur l'hiver. En France c'est en 1561 que Charles IX instaura la tradition d'offrir du muguet en guise de porte-bonheur. Le muguet que l'on trouve dans les forêts est aussi appellé clochette des bois, lis de mai ou lis des vallées. Quant au muguet de culture, on le retrouve sous l'appellation de muguet de Berlin ou de muguet nantais. A Chicago, le 1er mai 1886, une manifestation d'ouvriers qui réclamaient l'instauration de la journée de 8 heures dégénère face aux forces de l'ordre. En France, en 1889 Jules Guesde propose de faire de cette date une fête prolétarienne internationale. Ce ne sera qu'en 1937, sous le Front Populaire, que cette journée sera officiellement instaurée comme étant la " fête du travail ", le muguet y étant associé comme symbole de porte-bonheur de leur lutte.

Le langage du muguet :
Le muguet est le symbole de l'affection, de l'amitié. Il permet de concrétiser ses vœux de bonheur par le don de ces clochettes blanches." (Extrait du site annuaire-fleuristes.com)

 

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1er mai

J’ai baigné depuis mon enfance dans les « 1er mai » populaires. A Nantes qui était alors la ville des chantiers Dubigeon - construction navale-,  des biscuiteries  BN et LU  et de Sud Aviation, première usine de France occupée en Mai 1968 :Manif et muguet, tel était le 1er mai.

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Adolescent, j’ai quitté les HLM  de la ville pour une commune périphérique et un   nouveau quartier dit résidentiel au milieu  des cultures de muguet aujourd’hui disparues.
Puis, jeune travailleur, je suis « monté » à Paris, à deux pas des rassemblements très colorées de la Place de la République. J ’y suis retournée en 2004  l’ambiance y est toujours aussi particulière le 1er mai.

 

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A Nice, je n’ai pas trop de souvenirs si ce n’est d’une  marée humaine en 1981 avenue de la Victoire comme disent encore les niçois. Ce n’était pas le 1er mai… mais 10 jours plus tard  et juste après une apparition télévisuelle!
Au fil du temps, j’ai délaissé les défilés pour d’autres premiers mai  familiaux  coïncidant avec des vacances ou des week-end  prolongés.  Je me rappelle bien les  brins de muguets dans les sous-bois, du coté de Puilaurens, en pays cathare, ballade de jeune Papa  avec les grands-parents.

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Cette année, comme l’an passé, je serais à Méailles pour quelques jours.  Et il sera toujours là le brin de muguet, lien entre souvenirs et temps présent. Muguet  porteur d’espoir et de bonheur que je vous souhaite de tout cœur en mettant en ligne la centième note de ce Blog.

 

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Photographies Louis-Paul Fallot

 
 

 

 
Les 100 Notes du Blog de Louis-Paul, Carnet... ou...Vivre, ici et maintenant:
 
 

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Autour de l'arbre Roi

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Tout est curieux à Saint-Guilhem; il faudrait s'y enfermer avec les moines, pour bien le connaître. C'est un séjour délicieux pour l'historien, le poète et l'artiste...

Baron Taylor

 

 

Que serait la La Place s’il n’était pas là ?

 

 

 

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A sa place,  qui apparaît comme celle du maître des lieux.

Ses racines ressemblent aux pattes d’un gros pachyderme !Les vieilles pierres pourraient lui ravir le titre mais non, elles  restent comme tenues à respect à quelques mètres sur le pourtour du lieu chargé d’histoire.

Il faut rester un long moment sous le vieil arbre centenaire. Observer l’humain dont le comportement semble modifié par cette géante présence. Le « touriste » d’abord,  qui pose, sans se rendre compte qu’il ne sera  sur le cliché qu’une  modeste échelle. Lui seul peut donner une idée des dimensions impressionnantes du ce végétal exceptionnel. Pour le  marcheur, l’arrêt ici est évidence ! Que l’on vienne d’en bas après avoir « monté » les ruelles où que l’on ait cheminé   longtemps sur le chemin du célèbre pèlerinage de Compostelle.

 

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Les espadrilles côtoient   les  chaussures de randonnée et les baskets des enfants.  Le pied se pose ici  sans autre préoccupation que celle du repos, de la détente.L’humain s’arrête sur la place à l’ombre du grand arbre ;  seul, en famille ou en groupe.

 

 

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Seuls les enfants sont dans l’insouciance du moment, courant, jouant de l’eau de la fontaine, où énervant quelque peu le guide qui s’essaye à expliquer l’importance du lieu historique !

 

 

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L'humain  sait qu’il ne pourra éternellement rester là et qu’il faudra bien qu’il se décide à passer la porte que ne masquent pas les six mètres de circonférence du vieux platane.

  

 

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Qu’il lui faudra passer le porche pour vraiment prendre la pleine mesure du « pourquoi être là ».

 

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Viendra alors l’heure  de pénétrer dans  le lieu sacré, de s’isoler dans la presque nuit près de la relique du saint ou de bifurquer vers le cloitre baigné de lumière.

Ce sera  le moment du silence et de la  méditation.

 

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Saint-Guilhem le Désert, vacances 2011

LIENS :

Le platane, (aussi appelé le "Roi Platane") avec ses  dimensions imposantes,  apporte sa force et sa fraîcheur à la place de la Liberté en plongeant ses racines dans la cour souterraine du Verdus.   Cet arbre, emblème de la commune, fait l’objet de soins attentifs.

Source : saint-guilhem-le-desert.com

 

Et un grand MERCI à  Karine

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La vallée d'Or

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Photos de cette Note: Orvault, décembre 2009

Louis-Paul Fallot

 

 

Orvault-PhotosLP Fallot-2009.jpgJe serais bien allé jusqu’au bourg d’Orvault pour vous  le présenter en quelques clichés.

Mais c’est trop loin du quartier de « La Botte d’asperges », lieu de la résidence familiale.

Le quartier a bien changé depuis les années 60 qui voient cette commune limitrophe de Nantes commencer son explosion démographique.

 

 

Mes souvenirs sont ceux des champs de muguet, des fermes et  chemins de terre, d’une route de Vannes empruntée pour les  vacances morbihannaises et  loin de la zone d’activités commerciale qu’elle est devenue.

 

De ce nouveau quartier, je garde ceux d’adolescent, les filles bien sûr, les boums, les premières émissions de télé couleurs chez les grands parents de mon « pot » et le visage de l’illustre voisin José Arribas.  

 

En longeant la rivière qui coule à Orvault, le Cens, on peut aussi à pied et à travers  parcs et chemins rejoindre  l’Erdre puis retrouver la Loire au centre ville nantais. L’eau est partout ici et les parfums de sel de l’océan proche se mêlent aux essences des grands arbres.

(Voir ma Note ballades nantaises)

 

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Les premières mentions d'Orvault remontent à l'an 850, sous le nom d'Ormedo, modifié ou déformé au fil des ans en Oisraldum et Orsvaldum. La signification la plus répandue de ces appellations serait Vallée d'Or ou Val d'Or.(lire l’ histoire de la ville sur le site de la mairie)

 

A chaque séjour, en partant de ces rues elles aussi en terminaisons « d’or », blés, ajoncs…, je découvre la métamorphose de ce quartier avant de prendre  le tram qui  m’emmène vers d’autres ballades. Les pavés nantais ne sont jamais loin !

 

 

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La photo mystère:

 

La photo du petit jeu  est la deuxième prise du balcon  coté jardin  de la résidence familiale. Au télé objectif.

Voici la première,  sur le fond à droite, on aperçoit les abris de jardin. Le givre s’évaporait encore doucement des toits en début de cet après-midi d’un  jour précédant Noël.  

 

 

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Un Blog au mois d’août

 

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C’est venu comme cela, ce n’était pas prévu au début de ce mois. C’est venu, crescendo et un jour je me suis aperçu que ce Blog vivait au rythme du calendrier qui égrène les jours de la semaine.  Presque quotidien.

 

Une Note, pas tous  les jours mais pas loin. Cela prend du temps.

J’ai essayé de publier des Notes variées sur des sujets qui me tiennent à cœur, du  sérieux, du plus léger…De faire un choix rigoureux de photos, de bien présenter le tout !

Les mots. Ceux que je prends de plus en plus plaisir à écrire. Ceux que j’ai  accueillis avec tant de bonheur. Mais aussi de belles découvertes sur d’autres Blogs et de très riches échanges  en commentaires et/ou en courriel.

 

Les mots. Je n’ai pas la facilité d’ouvrir la page vide et de taper mes mots en direct.

J’ai essayé et n’y suis pas arrivé! Peut-être un jour, j'essaye toujours de progresser et de lire les conseils   régulièrement publiés par l'éditeur de ce Blog. 

Il me faut du papier, des prises de notes puis du brouillon enfin  du Word ! Il me faut laisser le tout reposer avant de publier. Parfois, tout va plus vite mais cela reste rare. Il m'arrive même de revenir, après publication faire une "dernière retouche", corriger une faute (Clin d'oeil) ,rajouter un lien...

Cela prend du temps, je me répète.  

 

Bien sûr, la période s’y prêtait, mes autres activités  étant quelque peu au ralenti.

J’ai pu vivre cette expérience, cela m’a plut,  à vous aussi si j’en crois les statistiques de vos visites. Certains chiffres m’ont vraiment impressionné ! Merci.

 

J’ai aimé  ressentir cette quotidienneté  du partage, et j’ai compris aussi que cette période devait avoir une fin. Que je ne pourrais tenir ce rythme plus longtemps.

Ce Blog va donc reprendre sa « vitesse de croisière »…une à deux Notes par semaine.  

La série vacances en Haute-Provence se poursuivra au cours du  mois de septembre et en attendant  la dernière note de ce mois lundi avec le  défifoto , vous pourrez voir ou revoir   toutes celles   publiées en août 2009. Bon courage à ceux qui rentrent, belle fin de semaine à toutes et tous.

 

 

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A l'écoute des émotions

 

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Un de mes  livres de cet été.  Commencé pendant mes vacances en juillet, je le lis par « par petits bouts ». Il est passionnant et  m’incite à poursuivre ma réflexion personnelle.  Le mieux est de laisser les auteurs vous le présenter à travers ce texte publié en 4ème de couverture :

Ce livre a pour objet de traiter de la place de l'émotion en thérapie.
Boris Cyrulnik et Mony Elkaïm rendent compte d'un colloque organisé par Michel Maestre et l'institut Psycom, ayant rassemblé plus de 3000 personnes. Les participations d'Edith Goldbeter, Martine Nisse, Jacques Pluymaekers et Romano Scandariato font le lien entre, d'une part, les concepts de résonance et de résilience et, d'autre part, les pratiques de ces cliniciens hors du commun. Le thérapeute doit-il neutraliser ses émotions et travailler avec le transfert et le contre-transfert, comme certains courants psychanalytiques peuvent le préconiser, ou, comme le propose la cybernétique, accepter les émotions et les utiliser en séance? Abordée sous l'angle systémique, cette question est développée par chacun des auteurs selon la spécificité de leurs approches cliniques.
" La résilience est un concept apparu en France il y a moins de dix ans. Si un jour nous arrivons à bien structurer nos observations, nos expérimentations et nos théories, je pense que nous en ferons une théorie de l'anti-fatalité, de l'anti-destin. Ce sera une théorie du pouvoir thérapeutique de l'historisation. "
Boris Cyrulnik  

"J'utilise le terme de résonance pour désigner cette situation où ce que nous vivons a une utilité pour l'autre ou pour le contexte dans lequel ce sentiment émerge.
Cette utilité consiste en général à renforcer l'autre dans ses croyances profondes, à renforcer la stabilité des croyances du système humain dans lequel nous vivons ce que nous vivons. "
Mony Elkaïm   

 

 

Boris Cyrulnik est psychiatre, neurologue et éthologue. Directeur d'enseignement à l'université du Sud-Toulon-Var, il est surtout connu pour avoir développé et fait connaître en France le concept de « résilience ». Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont La résilience. Renaître de sa souffrance, aux éditions Fabert (ouvrage collectif).

 

Mony Elkaïm est neuropsychiatre, thérapeute de famille, il forme des groupes de psychothérapeutes en Europe, aux États-Unis et au Canada. Auteur de nombreux ouvrages, il dirige la collection « Couleur Psy » aux éditions du Seuil.

 

Michel Maestre est psychologue clinicien, psychothérapeute de couple et de famille et formateur en thérapie familiale systémique à Psycom, à Villeneuve d'Ascq. Il a organisé ce colloque et la publication de cet ouvrage.

 

 

Entre résilience et résonance Couverture.jpgEntre résilience et résonance

A l’écoute des émotions

 

Est publié aux éditions FABERT dans la collection Psychothérapies créatives (dirigée par Jean-Paul Mugnier) qui  explique que si la psychothérapie est l'art de la relation qui mène à la réduction de la souffrance, il y a lieu de faire une large place à la réflexion sur les outils dont cet art dispose. 

Tel est l'objectif de cette collection, présenter ces différents outils ainsi que les modèles théoriques auxquels ils se réfèrent.

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