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03.03.2015

Notre temps

Le temps-PhotosLP Fallot.JPGLe 2 mars 2015 au Cros de Cagnes
Photographie Louis-Paul Fallot



Je n’ai pas le temps !",  j’entends souvent.
J’essaye d’éviter cette phrase sans appel.
En fait, il faudrait mieux avouer que se  cache derrière cette formule quelque peu expéditive un constat d’impuissance, un disfonctionnement personnel. Des engagements pris à la hâte, une sur- estimation de ses capacités ou plus simplement ce qui serait  une mauvaise "gestion de son temps".

La gestion du temps est l'un des grands classique des séminaires et autre formations….Je me souviens - lors d’une de ces séances -  avoir retenu que dans un planning d’activité journalier, semainier, il fallait être conscient que 70 % de son activité serait fait d’imprévus; qu’il convenait d’intégrer cette donnée à son planning d’activité et bien sûr d’appliquer une méthode, l'un de ces conseils dispensés et souvent  aussitôt oubliés! Mais à  l’heure d'Internet,  il n’est point besoin de séminaire, amusez vous à taper gérer son temps" ou  gestion du temps sur votre moteur de recherche et apprêtez vous  à passer … beaucoup de temps  à lire  des pages de conseils, des propositions de stages ou d'achat de revues traitant de ce sujet ! Que ce soit en développement personnel ou coaching  professionnel, vous n’aurez que l’embarras du choix.

Le paradoxe du temps c’est que rares sont ceux qui estiment en avoir suffisamment, alors que chacun dispose de sa totalité  écrivait  J.L. Servan-Shreiber. Au-delà de ces quelques généralités sur cette notion du temps, complexe et abstraite, je crois avoir trouvé par expérience quelques principes que je me garderais bien de généraliser comme méthode ou conseil;  juste  l’écrire ici pour moi-même et à qui voudra bien le lire. J’essaye d’appliquer l’important d’abord  et de prendre "le temps" de l’identifier. L’important n’est pas toujours là où je crois. L’écrire, se le remémorer mentalement permet de se garder une ligne de conduite tout au long de la journée. Ensuite de ne plus me fixer le matin des objectifs journaliers démesurés que bien sûr je n’arriverais pas à tenir et qui seraient source de frustration à l’heure de mon  bilan de soirée. Accepter aussi de ne pas être maitre de mon temps tout le temps et de regarder ces moments d’imprévus comme  des cadeaux, autant de découvertes que  de partages. Se poser régulièrement, pour mon  bien être physique et mental mais aussi pour faire un point d’étape dans ma trajectoire du jour ou de la semaine  et en rectifier le tir si nécessaire. Enfin et surtout, vivre l’instant présent en ayant toujours en pensée ce "Rien qu’aujourd’hui ",  texte qui ne me quitte jamais  et déjà  cité sur ce blogue : 

 

Il y a dans chaque semaine deux jours pour lesquels on ne devrait pas se tracasser...
L'un de ces jours est "hier" avec ses erreurs et ses soucis, ses fautes et ses bévues,
ses maux et ses peines. Hier s'échappe à jamais de nos mains.
L'autre jour, c'est "Demain", avec ses fardeaux, ses larges espérances et ses pauvres accomplissements.
Il ne reste qu'un jour : "Aujourd’hui ". Tout homme peut livrer les combats d'un seul jour... Ce ne sont pas les épreuves d'un seul jour qui rendent les hommes fous, c'est le remords ou la rancœur d'un incident qui est arrivé hier et la crainte de ce que demain peut apporter....
Vivons donc un seul jour à la fois. Juste pour aujourd’hui. 

 

Un temps avec moi-même qui devient partage.  Je me suis remémoré d’avoir pris le temps de me poser un instant sur la route  en voyant cet arbre dans la ville. Attiré par cette  lumière d’un premier jour de beau temps annonciateur d'un nouveau printemps, je me suis arrêté le temps de quelques clichés. Pourtant, je n’avais à priori  pas le temps. Ce rose et bleu a illuminé mon début de matinée et m’a apporté de la sérénité pour le reste de la journée.  C’était hier, c’est aujourd’hui que je le partage.

Ce matin j’ai passé un temps à relire ces lignes déjà publiées ici en mars 2010. Mise à part quelques aménagements de forme, je n'ai pas eu envie d'en modifier le contenu. Mais j'en ai changé le titre avec également la satisfaction d'avoir mis en pratique quelques uns de ces conseils.
Dans "L'homme à la découverte de son âme" Carl Gustav Jung écrivait Nous sommes, dans ce que notre vie a de plus privé et de plus subjectif, non seulement les victimes, mais aussi les artisans de notre temps. Notre temps - c'est nous!

 

24.03.2010

Le temps

 

 

L'ARBRE ROSE-PhotosLP FALLOT (4).JPG
Cagnes le Béal-Mars 2010
PhotosLP

 

Je n’ai pas le temps !  j’entends souvent.

J’essaye d’éviter cette phrase sans appel.

 

En fait, il faudrait mieux avouer que se  cache derrière cette formule quelque peu expéditive un constat d’impuissance, un disfonctionnement personnel.

Des engagements pris à la hâte, une sur estimation de ses capacités ou plus simplement ce qui serait  une mauvaise « gestion de son temps ».

 

Gestion du temps : un grand classique des séminaires et autre formations….

Je me souviens lors d’une de ces séances avoir retenu que dans un planning d’activité journalier, semainier…, il fallait être conscient  que soixante-dix pourcents de son activité serait fait d’imprévus et qu’il convenait d’intégrer cette donnée à son planning d’activité ! 

Et bien sûr d’appliquer une méthode, ces  conseils dispensés et souvent  aussitôt oubliés.

Mais à  l’heure du Net, il n’est point besoin de séminaire, amusez vous à taper « gérer son temps » ou « gestion du temps » sur votre moteur de recherche et apprêtez vous  à passer … beaucoup de temps  à lire  pages de conseils, propositions de stages ou achat de revues traitant de ce sujet ! Que ce soit en développement personnel ou coaching  professionnel, vous n’aurez que l’embarras du choix.

 

Le paradoxe du temps c’est que rares sont ceux qui estiment en avoir suffisamment, alors que chacun dispose de sa totalité. (J.L. Servan-Shreiber)

 

Au-delà de ces quelques généralités sur cette notion du temps, complexe et abstraite, je crois avoir trouvé par expérience quelques principes que je me garderais bien de généraliser comme méthode ou conseil ; non juste  l’écrire ici pour moi-même et à qui voudra bien le lire.

 

J’essaye d’appliquer « l’important d’abord » et de prendre « le temps » de l’identifier.

L’important n’est pas toujours là où je crois. L’écrire, se le remémorer mentalement permet de se garder une ligne de conduite tout au long de la journée.

Ensuite de ne plus me fixer le matin des objectifs journaliers démesurés que bien sûr je n’arriverais pas à tenir ;  et qui seront source de frustration à l’heure de mon  bilan de soirée.

Accepter aussi de ne pas être maitre de mon temps tout le temps et de regarder ces moments d’imprévus comme  des cadeaux, autant de découvertes que  de partages.

Se poser régulièrement, pour mon  bien être physique et mental mais aussi pour faire un point d’étape dans ma trajectoire du jour ou de la semaine  et en rectifier le tir si nécessaire.

 

Enfin et surtout, vivre l’instant présent, en ayant toujours en pensée ce « Rien qu’aujourd’hui »,  texte qui ne me quitte jamais et déjà  cité sur ce Blog : 

Il y a dans chaque semaine deux jours pour lesquels on ne devrait pas se tracasser...

L'un de ces jours est "hier" avec ses erreurs et ses soucis, ses fautes et ses bévues, ses maux et ses peines. Hier s'échappe à jamais de nos mains.

L'autre jour, c'est "Demain", avec ses fardeaux, ses larges espérances et ses pauvres accomplissements.

Il ne reste qu'un jour : "Aujourd’hui ". Tout homme peut livrer les combats d'un seul jour... Ce ne sont pas les épreuves d'un seul jour qui rendent les hommes fous, c'est le remords ou la rancœur d'un incident qui est arrivé hier et la crainte de ce que demain peut apporter....

Vivons donc un seul jour à la fois. Juste pour aujourd’hui. 

 

Ce matin j’ai passé un moment à écrire ces lignes. Un temps avec moi-même qui devient partage. Cela m’a paru  plus important que de préparer une Note pour demain  sur le quatrième anniversaire de ce Blog. Finalement un non évènement, j’ai déjà répondu à cette question  Pourquoi je blogue .

 

Je me suis remémoré d’avoir pris le temps de me poser un instant sur la route  en voyant cet arbre dans la ville. Attiré par cette  lumière d’un premier jour de beau temps de ce nouveau printemps, je me suis arrêté le temps de quelques clichés. Pourtant, je n’avais à priori  pas le temps. Ce rose et bleu a illuminé mon début de matinée et m’a apporté de la sérénité pour le reste de la journée.  C’était hier, c’est aujourd’hui que je le partage.  Et puisque il est aussi question de Blogs et d’anniversaire, je vous offre ce lien vers Saison 2, une de mes notes préférées intitulée " Confidences dans la lumière de mars", une autre illustration de cette notion du temps.

Bon printemps à toutes et tous.

 

 

 

L'ARBRE ROSE-PhotosLP FALLOT (2).JPG
Photos LP FALLOT

 

23.12.2007

Du Temps et de l'Amour

 

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PhotosLP Fallot

 

Le conte de l’amour et du temps

Il était une fois, une île où tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l’Amour y compris. Un jour on annonça aux sentiments que l’île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l’Amour resta. L’Amour voulait rester jusqu’au dernier moment. Quand l’île fut sur le point de sombrer, l’Amour décida d’appeler à l’aide.

5f835debd9aa99fbaf70a46f1e116cfe.jpgLa Richesse passait à côté de l’Amour dans un luxueux bateau. L’Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m’emmener ?" "Non car il y a beaucoup d’argent et d’or sur mon bateau. Je n’ai pas de place pour toi."

L’Amour décida alors de demander à l’Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, "Orgueil, aide moi je t’en prie !" "Je ne puis t’aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau." La Tristesse étant à côté, l’Amour lui demanda, "Tristesse, laisse moi venir avec toi.". "Ooh... Amour, je suis tellement triste que j’ai besoin d’être seule !" Le Bonheur passa aussi à côté de l’Amour, mais il était si heureux qu’il n’entendit même pas l’Amour l’appeler !

 

5b14054f78ff54a3f96c84d0bb7f9438.jpgSoudain, une voix dit, "Viens Amour, je te prends avec moi." C’était un vieillard qui avait parlé. L’Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu’il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu’ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s’en alla. L’Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir "Qui m’a aidé ?" "C’était le Temps" répondit le Savoir. "Le Temps ?" s’interrogea l’Amour. "Mais pourquoi le Temps m’a-t-il aidé ?" Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit : "C’est parce que Seul le Temps est capable de comprendre combien l’Amour est important dans la Vie.

 

 Illustration: Les photos des crèches ont été prises à Nantes et au Cros de Cagnes.

LIEN:  Sur le Blog de Méailles, vous trouverez un autre Conte: La légende du Sapin 

 

 

CETTE NOTE EST PROGRAMMEE,

MERCI DE LAISSER VOS MESSAGES JUSTE CI-APRES.(NOTE SUIVANTE)

TRES BONNES FETES DE FIN ET DEBUT D'ANNEE.