22.05.2018
68... en faisant des cartons
Il faut du rouge pour sortir du noir.
Je tri, range, fait des choix draconiens je garde ou pas , deux tas plus cette option dont il ne faut pas abuser on verra plus tard. Je vous parle de mes livres et revues et de cette dernière option est né un soir où l’insomnie domine cette idée d’évoquer autrement cette année 1968 (1) et comme nous sommes en mai…
Publié dans Cette année là, 1968, Chansons qui m'inspirent, Découvrir, Livre | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : 1968, livres, revues, textes, photos, chansons, cartons | 14:33 | Facebook | Imprimer
01.01.2015
D'un premier janvier à un autre
« Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques uns. Je vous souhaite d’aimer ce qu’il faut aimer et d’oublier ce qu’il faut oublier. Je vous souhaite des passions, je vous souhaite des silences. Je vous souhaite des chants d’oiseaux au réveil et des rires d’enfants. Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir. Je vous souhaite de résister à l’enlisement, à l’indifférence et aux vertus négatives de notre époque. Je vous souhaite enfin de ne jamais renoncer à la recherche, à l’aventure, à la vie, à l’amour, car la vie est une magnifique aventure et nul de raisonnable ne doit y renoncer sans livrer une rude bataille. Je vous souhaite surtout d’être vous, fier de l’être et heureux, car le bonheur est notre destin véritable. »
C’était le 1er janvier 1968, les vœux – improvisés - de Jacques Brel sur une radio (Europe 1) et c’est tellement d’actualité en ce 1er janvier 2015.
Publié dans Texte choisi | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : voeux, 2015, jacques brel, 1968 | 06:26 | Facebook | Imprimer
12.12.2012
L’héritage?
Big brother sur une palissade parisienne-PhotosLP Fallot, 2012
Un film, Après Mai d’Olivier Assayas (pas encore vu), une chanson d’Alexis HK que Gilles Médioni nomme fils de Brassens avec des paroles superbes (Le son des trains de banlieue faisait gronder la terre du milieu. Rien ne tangue à part nos langues assoiffées du vocable des fables rugueuses où les fées enfuies abandonnent les hommes au milieu de la nuit) .
Le mai n’en finit plus de son après. Que faut-il en déduire, je ne sais.
Publié dans Actu, Cette année là, 1968, Chansons qui m'inspirent, Photo, Vu, lu, entendu dans les médias | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : 1968, 12 décembre 2012, big brother, photo | 06:15 | Facebook | Imprimer