30.09.2014
à La Gacilly (2014)
Festival photo de La Gacilly
Photographies Louis-Paul Fallot - 2014
J’ai déjà décrit sur ce blogue comment se passe une journée à La Gacilly, au moment du Festival photo qui s’y déroule de mai à septembre. (1)
Cette année, il semble qu’il n’y aura pas de prolongation comme l’an passé… Il reste, pour celles et ceux s’y sont rendus cette année, de très beaux souvenirs ; et pour mes lecteurs, quelques photos que je partage ici.
C’est aussi l’occasion de remercier les organisateurs qui nous proposent chaque année un festival photographique d’une telle qualité et entièrement gratuit, dans le cadre d’un village magnifique ! J’ai déjà publié des Notes sur La Gacilly ; je me répète avec plaisir pour vous (re) dire que ce village du Morbihan est vraiment un lieu où je me sens bien. Et la grande joie que nous avons à retrouver là-bas nos amis parisiens.
Le mot de la fin, j’ai vraiment envie d’écrire : La Gacilly, sous le soleil ou sous la pluie, c’est magique ! En lien, vous pourrez retrouver la documentation et une présentation de tous les photographes exposés pour cette très belle édition 2014 du Festival Photo de La Gacilly.
Allez, encore quelques images...
La Gacilly
Photographies Louis-Paul Fallot - 2014
(1) Nota et rajout:
La (très bonne) nouvelle vient d'être annoncée par les organisateurs sur les réseaux sociaux: "Le Festival est Prolongé jusqu'au 2 novembre, nous vous attendons nombreux au mois d'octobre !"
Lien vers le site du Festival photo de La Gacilly
Publié dans Découvrir, Photographie | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : la gacilly, bretagne, festival photo, été 2014 | 13:41 | Facebook | Imprimer
04.09.2014
Rêves poétiques à Paimboeuf
La Loire à Paimboeuf, photographies Louis-Paul Fallot, 2014
Le quai, la jetée, le phare ou encore la cale du grand fer à cheval nous rappellent le passé prestigieux de Paimboeuf, du temps où St Nazaire n’était qu’un village de pêcheurs ! C’était l’avant-port de Nantes et n’est-ce pas ici, à Paimboeuf, qu’un gamin nommé Jules Verne, rêvant d’océan et d’horizons lointains fut "rattrapé" par son père alors qu'il s'était embarqué clandestinement, à Nantes, à bord d'un voilier transatlantique ?
Et en exergue du site Internet de la ville de Paimboeuf, une citation du grand poète andalou Rafael Alberti Il est des portes sur la mer que l'on ouvre avec des mots.
D’une maison d’artiste à la façade changeante aux poèmes des enfants flottant dans un "jardin étoilé", il sera beaucoup question de poésie et d’horizon lointain en ce bel après-midi de fin juillet.
Des récits de Loire et d’ailleurs tout au long du fleuve dont j’ai voulu partager quelques unes de mes photographies dans cette série. Une Note fleuve pour un estuaire qui m’ entraine à chaque mise en page vers d’autres découvertes, des histoires, des arts, des paysages... Ce que j'aime dans les voyages, c'est l'étonnement du retour écrivait Stendhal.
Il me faut faire une pause dans ces récits sur l’Estuaire ; je les reprendrais en alternance avec d’autres billets et pour que mes lecteurs s’y retrouvent, je garderais lors de leur parution la référence à cette « Note fleuve pour un estuaire ». Mais je suis heureux de cette série, même inachevée. J’avais eu l’an passé la même envie au retour d’un autre séjour breton. Mais ma priorité était à l’époque mon livre, un projet passionnant mais qui me demanda beaucoup de temps et d’énergie.
J’ai aussi envie de vous emmener vers d’autres rivages et d’autres terres. Alternance donc entre cette série et d’autres billets, et toujours dans cet esprit d'un "mode été", ….à bientôt.
Estuaire de La Loire à Paimboeuf
Photographies Louis-Paul Fallot, 2014
Publié dans Art, Découvrir, N&B, Voyage | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : carnet de vacances été 2014, bretagne, estuaire, paimboeuf, jardin étoilé, dominique leroy, une note fleuve pour un estuaire, photographies, n&b | 10:44 | Facebook | Imprimer
30.08.2014
Entre mer et estuaire
Comme s’il veillait sur les lieux, "le serpent d’océan de Huang Yong Ping "commence - ou termine - le parcours d’Art contemporain le long de la Loire. Certains le nomment le « Dragon de Mindin et l’on devine qu’il a traversé les mers pour venir échouer sa gueule démesurée sur cette plage.
Voir pourrez lire en bas de Note un extrait de la fiche de présentation de l'œuvre.
Le Serpent d'océan à la pointe de Mindin
Photographie Louis-Paul Fallot, juillet 2014
Ici, le spectacle est saisissant sur l’estuaire, les plages, le pont et au fond la ville de Saint Nazaire...
...et ses grands ensembles architecturaux portuaires, revisités eux aussi par d’autres œuvres d’art comme les Triangles rouges de Varini .
La mer commence son ballet marin sur l’estran, dans les lumières du ciel de fin d’après-midi et des mouvements de la marée montante qui ne cessent de faire bouger les paysages. Nous y restons un bon moment sur cette promenade du littoral aménagé à St Brévin les Pins.
Mes yeux se fixent sur ces étranges bâtisses de bois sur pilotis et encore cette fois, je me dis que les pêcheries que l’on trouve tout au long de cette côte de Jade sont un thème inépuisable de sujets pour les photographes.
Illustrations:
Pointe de Mindin à St Brévin les Pins et le Serpent d'Océan
Photographies Louis-Paul Fallot - juillet 2014
Extrait de la fiche sur le site de présentation de l’œuvre de Huang Yong Ping sur le site estuaire.info/fr/.
"(…) En faisant apparaître sur les rives de l’Europe une des figures majeures de la mythologie chinoise, Huang Yong Ping aborde, comme souvent dans son travail, les notions d’identité et d’hybridité culturelle. La question environnementale est également très présente dans son art où il met régulièrement au jour le paradoxe de l’homme sciant la branche sur laquelle il est assis, tiraillé entre capacités créatrices et pulsions destructrices. C’est une des lectures possibles de cette œuvre. Positionné sur l’estran, le squelette apparaît au rythme de la marée, et accueillera, peu à peu, faune et flore marines."
Publié dans Art, Découvrir, Voyage | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : carnet de vacances été 2014, bretagne, estuaire, saint brévin, huang yong ping, serpent d’océan, une note fleuve pour un estuaire | 10:20 | Facebook | Imprimer