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13.03.2013

En train et en images...


On traverse la Provence au ralenti avec le train des "Pignes", qui relie Nice à Digne.
D'où vient le surnom de cette ligne qui franchit vingt-cinq tunnels et une trentaine de ponts et viaducs ? Est-ce... parce que le train roule si lentement qu'on pourrait le suivre en ramassant les pommes de pin le long de la voie ?

Extrait de la présentation de l’émission sur Arte.fr

train des pignes,arte,de mer à monts,livre,éditions baie des anges,provenceIllustrations: Photographies extraites de l'ouvrage "De mer à monts"
Louis-Paul Fallot © Baie des Anges

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27.02.2013

Un résistant! (hommage à Stéphane Hessel)

 

93 ans. C’est un peu la toute dernière étape.
La fin
n'est plus bien loin.
Quelle chance de pouvoir en profiter
pour rappeler ce qui a servi de socle à mon engagement politique : les années de résistance…

 

hommage,stéphane hessel,livre,résistanceCe sont les premières lignes, de la 1ère édition, parue en octobre 2010 du manifeste "Indignez-vous!" aux éditions Indigène.. Je me souviens de l’avoir cherché, au moment de la pause repas dans une grande librairie près de mon lieu de travail. Un exemplaire « perdu » au milieu d’autres ouvrages…C’était en décembre et avant qu’il ne soit en tête de gondole dans sa... énième édition ! (Lire ma Note du 28 janvier 2011). 


Crédit photo:
Stephane Hessel au Salon du Livre 2012
pour l'ouvrage co-écrit avec Edgar Morin
"Le chemin de l'espérance".
Photo © BestImage

 

Celui qui écrit ces lignes - et dont le grand-père fût de cette résistance et en paya le prix de sa vie - fût heureux de lire ces lignes d’espoir écrit par le vieux monsieur. Je n’ai jamais voulu polémiquer sur tel ou tel aspect de ce livre, l’important était pour moi ailleurs. Page 12 par exemple "Je vous souhaite à tous, à chacun d'entre vous, d'avoir votre motif d'indignation. C'est précieux. Quand quelque chose vous indigne comme j'ai été indigné par le nazisme, alors on devient militant, fort et engagé. On rejoint ce courant de l'histoire et le grand courant de l'histoire doit se poursuivre grâce à chacun." Vous étiez jeune d'esprit Monsieur Hessel, merci de votre témoignage, de votre engagement, de vos messages d’espoir.
Un dernier extrait (page 20) de votre livre pour vous rendre hommage:

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22.02.2013

Tabloid City (Pete Hamill)

 

Taboid City de Pete Hamill-Photo de couverture.JPG
Photo de couverture de Tabloïd City, de Pete Hamill, traduit de l'américain par Daniel Roche,
Préface de François Forestier – Balland  littérature étrangères.  

 

 

Le livre, gros succès aux  États-Unis, pays de l’auteur est paru en France fin 2012.
Je l’ai découvert en ouvrant mes cadeaux de Noël. (« Merci ma sœur » ).
J'ai découvert aussi  Pete Hamill  en lisant la superbe préface que lui consacre François Forestier et parue sur BibliObs.
Un extrait:

"Le monde de Pete Hamill, c’est celui des bars du petit matin, des virées à Las Vegas avec Shirley MacLaine et Frank Sinatra, des rues sales, des réunions funéraires d’Irlandais, des visages et des âmes abîmées, des westerns étranges (il a écrit le scénario de «Doc», bizarre fiction sur la vie de Doc Holliday. Le rôle était tenu par Stacy Keach), des villages oubliés dans le Golfe du Mexique, des verres de whisky enflammés en souvenir des amis disparus, des gueules de bois au journal. Je n’ai jamais lu une seule ligne terne ou médiocre sous sa plume. Avec d’autres grands écrivains du journalisme – Albert Londres, Gay Talese, John Gregory Dunne, Ernie Pyle, Michael Herr – il fait partie de mes amis, ceux que je n’ai jamais vu, qui ne m’ont jamais parlé, mais qui sont présents, pour toujours."

Si j’ajoute que je ne suis pas du tout indifférent aux photos de couverture d’un livre et que j’ai vraiment aimé celle-là, il me reste encore à vous dire que j’ai pris un grand plaisir à la lecture de  Tabloid City ! 

"Tabloïd City» résume tout ( écrit François Forestier dans la préface, ndlr) : l’amour de la ville, l’hypocrisie des hommes, l’amour difficile, les sentiments cachés, la dureté de la nuit. Il y est question de journalisme, aussi. Il y est surtout question des hommes, pauvres humains, braves humains. Somos los chingados…"